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 Ritz l'aventure !

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Tryforce
Dragonien sacré
Tryforce


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MessageSujet: Ritz l'aventure !   Ritz l'aventure ! EmptyMer 16 Mar à 19:14

Ritz, l’Aventure !


Sommaire

1 ère partie :

1 – Ritz
2 – La route de la laine
3 – La grotte aux ponts à pilotis
4 – Faz
5 – Les marais
6 – Le manoir malsain du Dr. Brome


1 - Ritz


Au beau milieu d’un océan aux divers courant tumultueux et indomptable, au centre de tempête effréné s’abatant violement contre de récif tranchant se trouvait un royaume aux multiples paysages grandioses. Des hauts cols enneigé, aux plages de sable fins, des marais mouvant et nauséabond, aux prairies paisibles à l’herbe dense et enfin des paysages désertiques aux forets inhospitalières se trouvaient des hommes et femmes vivant paisiblement sur cette seule île en guise de seul continent.

Ce royaume est composé de dizaines de civilisations, aux coutumes, aux architectures et aux habitants différents, mais ce royaume est tout de même fédéré par une sorte de capitale au cœur même de l’île. De la taille d’un bourgeon sur un arbre, le royaume de Ritz est la seule parcelle viable sur cette planète bleue. Sur le pourtour de l’île se trouvent divers comptoirs maritimes, aux ports protégé par des digues fait en granit, la seul roche du territoire capable de stoppés les nombreux raz-de-marée qui souvent se fracasses sur ce continent.

Un grand soleil, voilà le temps qu’il régnait depuis plus six mois sur les plaines arborés de Ritz, la sécheresse et l’aridité avait pris le dessus sur cette terre habituellement fertiles, la température avoisinant les 42 ° transforma la terre en grain de poussières semblable à du sable fins, les plans d’eau qui jalonne la route dite « de la laine » étaient à sec, le bétail en mourrait peu à peu, ce qui causa une grande famine à l’intérieur du royaume et dans la somptueuse ville de Ritz.

Depuis certains temps, des maux accablent le pouvoir royal, ces problèmes apparaissent sous formes de raisons climatiques, de guerres répétitives contre la citée rivale Taria et de la santé du roi qui déclinait de jour en jour. Taria est devenue une ville prospère en isolant le plus possible Ritz du commerce extérieur, cela fait 20 ans que les deux villes sont entré en guerres, mais la citée rivale voulait absolument détruire Ritz de diverses façons, cela inquiétaient au plus au point les plus hautes autorités. Alors le pouvoir royale siègent à Ritz a élaboré une organisation de défense et d’aide au royaume, qui a pour but de repoussé les attaque de Taria et d’apporter le protection du roi.

Aujourd’hui, c’est le jour du marché, un jour normalement fréquenté en masse par tous les paysans de la région venant vendre leurs produit du terroir, leurs légumes, leurs poules et même leurs fruits exotique venant des côte de Castilla à la pointe sud du royaume. Mais là se fut, un jour de désolation inégalé à travers l’histoire, les rues n’accueillait aucuns stands, marchands ambulants, Naguzl, et autres animaux domestique.

Les habitants sont tout simplement resté calfeutré au frais dans leurs maisons fait en colombages et aux toit de chaumes, les volets sont d’ailleurs tous fermé pour se préservé de la haute chaleur. Dans l’une de ces maisons se trouvait une petite famille aisé, mais auquel des évènement troublant leurs faisait face depuis plus de deux ans, le père de cette famille à brusquement disparu lors d’un raz-de-marée qui s’est abattue sur le pourtour de l’île, on a jamais repêché son corps.

Pour glorifier sa mémoire, son fils âgé de 18 ans s’est inscrit à la Liandry cette compagnie qui a pour but de protégé Ritz, sa mère désapprouvait cette initiative un tan soit peu suicidaire, car aujourd’hui il devait rejoindre le roi qui devrait chaviré son destin ...

- Jeune homme : Man’ je m’en vais au palais, je reviendrait dans quelques temps.
- Maman : Bien, mais une fois ton histoire finie tu reviens me voir illico, compris ?
- Jeune homme : Compris Man’ !

Le jeune homme au teint bronzé, cheveux hirsute gesticulait avec une impression de joie imminente dans les rues pavées en direction du palais. Les rues était déserte pas une âme qui vivent dans les parages, ont y voyait des monticules de sable fins dans les impasses et recoins de maisons, le soleil surchauffait les pavées déjà excessivement brûlant et en plus éblouissait avec une lumière aveuglante les moindre murs de son belles éclat blanc.

La rue principale était à son habitude bordée de magnifiques massifs de fleurs et d’arbres symbolisants les merveilles de la déesse Flora qui embauma le pays de végétation, de cultures et de fleurs vivaces, mais là rien de tels, la rues fut morne et sans véritable intérêt, quelques élues du roi tentaient vainement à donné aux fleurs leurs état d’origine.

- Jeune homme : Ils sont pas près de finir, les pauvres !

Une fois dans la rue principale, il passa devant la grande diversité d’échoppes, celles vendant des bijoux, des sculptures en bois, du pain frais, des pierres de régénérescence, des locations de Guinaz ou Naguzl et enfin toutes sortes de magies. Le jeune homme enviait tous ses marchands qui vendaient un si joli objet.

Le jeune garçon se trouvait sur le seuil de l’immense palais au cents tour, chaque tour représentait un dieu soit par sa couleur, soit par sa forme ou bien par la gravure incrusté dessus. Les tours étaient plus ou moins grande, la façade possédait de nombreux ornements en or massif, avec de petites statues là aussi représentant les gardiens du temps, de l’espace et de la raison.

L’intérieur était tout aussi grandiose avec ses fresques datant d’X temps, du long tapis rouge qui recouvrait la salle non pas du trône mais de la table en bois parsemé au centre d’émeraudes, des grands tableaux représentant la campagne des différents cantons du royaume, même de celui de Taria, d’ailleurs ce détails faisait rire doucement le jeune homme.

Le roi habillé avec sa plus grande étoffe et son pantalon en velours brun s’approcha à vive allure de l’étudiant qui lui était habillé succinctement par de veille sandale, une chemise rentré dans un pantalon raccourcit. Il avait de longs cheveux blancs, une bouille toute ronde, avec des traits de visage grossier. Sa majesté toussa énormément et comme par un dernier souffle il disait au jeune homme.

- Le roi : Galo, tu est grand, tu ... est le seul qui peut me sauver ... et repoussé les attaques ... per...perpétuelle de Taria ! Aide moi ... et sauve ensuite notre royaume sous la tutelle ... de Ritz !
- Galo : Bien votre altesse je ferais ce que vous m’ordonnez de faire, je vais de ce pas au village et ...
- La roi : Non ! Pas au village ... va donc voir ... un ami à moi ....Guyard à l’ouest d’ici ...dans la ville de Faz.
- Galo : Bien ... puis-je amenez ...
- Le roi : Fais donc ... mais sauve moi ! J’ai toujours eut confiance en toi ...cela fait moins de 4 ... mois que tu est parmi nous, et tu as ... fournit un ... travail exemplaire !

Le roi n’avait pas tord, Galo eut fournit depuis un certains temps un travail titanesque au service de Ritz et du roi, en délivrant de nombreuses villes sous l’emprise de Taria, des attaques répétitives des monstres avoisinant et de plans toujours aussi démoniaque du malin. Le malin était un homme mauvais qui semait la panique à travers le pays, non pas part ses pouvoirs surnaturel, mais par son esprit et ses plans ambigus. Il ne voulais qu’une chose, sombré le dernier monceau de terre dans l’oublie, mais il fut neutralisé bons nombres de fois, dont la dernière à daté de ce jour par Galo.

2 – La route de la laine



Une fois l’instance finis, Galo alla rejoindre son ami d’enfance un dénommé Alan, un garçon plein de bon sens, un confident et combattant hors paires, mais ses temps-ci il avait plutôt tendance a ne plus s’entraîné, mais surtout lire et écrire de merveilleux poète qui plaisait aux gente demoiselles.


Alan avait l’habitude de s’isolé loin du tapage et du brouhaha intempestif de la ville, pour ainsi se plongé dans la silence le plus total. Les après-midi de grand soleil il avait pour habitude de s’abrité sous un arbre à même le sol, et de s’évadé dans des romans expliquant les œuvres satanique du malin, les traditions à travers le royaume, caresser par une légère brise d’été à l’ombre des roseaux qui bordait le petit point d’eau, voilà ce qu’il aimait et ce qu’il aimerait toujours. La température montait en échelons, Galo traversa la ville de toute part en cherchant le peu de point d’ombre, il espérait voir Alan allongé dans l’herbe absorbé dans l’un de ses poèmes, il le vit et cela le soulagea.

Galo : Alan, que fais tu là, par un temps pareille !
Alan : Galo, quel bon vent t’amène ! Il me semble que ta maison n’est pas vers ici ! Ha ha !
Galo : Oui, je voulais savoir si tu voulais m’accompagner à Faz.
Alan : Faz ? Pourquoi irais-je à Faz ?
Galo : Pour un simple exercice de routine ...
Alan : Vraiment ? Mais se n’est pas la porte à coté, c’est l’autre vieux fou qui te l’a ordonné ?
Galo : Oui, il lui faut prendre des herbes médicinales de Faz ! Alors ?
Alan : ...
Galo : Si ça ne t’arrange pas, reste ici, je sais bien que tu n’aimes pas notre roi, mais...
Alan : Je viens ! Mais c’est pour t’accompagner, et non pas pour l’autre barbu que je fais cela !
Galo : Bien ... revêtis des vêtements un peu plus adéquat et rejoins moi aux portes de Ritz.
Alan : J’y serais dans 2 guar (1 guar environ 5 minutes).
Galo : Je compte sur toi à bientôt !

Alan n’aimait pas toute sorte de gouvernement qui dirigeait tant bien que mal le royaume depuis son plus jeune age. Il trouvait son bonheur dans la simplicité de la vie, sans se soucier du monde extérieur autre que la ville de Ritz. Tout comme Galo, Alan n’avait jamais mis les pieds hors des plaines de Ritz, ils ne connaissaient que leur ville natale, les plaines fertiles gorgée de toute richesses, la route de la laine et leur connaissances s’arrêtait là, ils n’avaient guère envie de s’aventuré dans les autres contrée du royaume par manque de curiosité et de sensation autre que leurs train-train quotidien.

Les gens qui voyageaient de cantons en cantons, en traversant de part et d’autres le royaume, aux risques et périls étaient des marchands ambulants, des mages Monokaido (personnes apportant la foie du culte Shiguino) et enfin des commerçants qui troquaient avec les villes voisines, de même civilisation et coutumes que les leurs.

Galo retourna chez lui, se ne fut pas une partie de plaisir, sa mère pleurait à chaude larme affalée sur le divan, lorsque Galo lui expliqua la situation. Tels une mère protectrice, possessive à souhait, le jeune Galo avait du mal a caché ses émotions, il se tue, tentait de la réconforter en vain. Depuis son entré au sein de la Liandry la maman de Galo avait du mal à accepter ses missions perpétuelles attribué à son fils par le roi, et se fut toujours la même comédie.

Galo s’y est fait une raison, ce fut toujours le même mécanisme inébranlable : une mission, du chagrin, une aventure, un retour, et le chagrin faisant place en fin de compte au bonheur et ainsi de suite. Mais là se fut une mission d’ordre plus important, le jeune garçon devait assuré la protection du roi, et non pas vaincre quelques ennemis à Taria ou des monstres sanguinaires. Cela redoublait l’inquiétude de la mère.

Galo s’en alla, en apportant le stricte minimum avec soit, la chaleur frappait durement, la journée abordait la partie la plus chaude de l’après midi. Alan était bien au rendez-vous, sur la grande place au centre même de la ville, assit sur la fontaine a sec de celle-ci.

Il avait endossé une cape noire, des bottes retroussées aux lacets défaits, une sorte de cuirasse légère, pas aussi épaisse que ceux que porte les soldats de Ritz au front, contre Taria. Armé de sa plus grande épée, il avait accroché a son ceinturon un petit canif, et des rouleau de feuilles d’Ipolapse, qui pouvait servir de feuilles de papier odorante.


Dernière édition par le Dim 3 Avr à 19:32, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Ritz l'aventure !   Ritz l'aventure ! EmptyJeu 31 Mar à 20:06

Galo : Fin prêt ?
Alan : Fin près, mais est ce raisonnable de partir maintenant ?
Galo : Si l’on veut être arrivé à Faz avant la tombé de la nuit, oui.
Alan : Mais nous ne savons pas où se situe Faz !
Galo : Par là …
Alan : C’est vaste !
Galo : Bon tu choisis, tu joues les rabat-joie en pisant dans ton froc ou tu me suis ?
Alan : …

En sortant de la ville fortifié par une somptueuse porte ornées de statue en marbres montrant la richesse aux nombreux commerçants séjournant à Ritz, mais aussi les chaînes en fer du pont levie montrant la savoir faire de ces habitants, nos amis commencèrent l'aventure !

Ils abordât la route de la laine, elle avait été érigé il y a des décennies pour le transport de marchandises diverses, mais avant tout les moutons pour sa laine et son apport en viande. La chaleur tomba tels une grande chape aux dessus de ces plaines avides de ses sens, la vie n'avait plus court ici, la ville de Ritz allait-elle devenir fantôme à leurs retours ? Cette question toute simple, trotta dans les esprits de nos deux compères, mais l'un et l'autre ne pouvait y apporter une réponse. Derrière eux s'élevait les fortification de Ritz, et devant eux le néant de leur connaissances.

Le sol était jonché de carcasse de brebis, qui n'ont guère survécu de la chaleur qui s'est abattue sur la ville de Ritz, l'aventure confié par le roi ne semblait pas une tache facile, la chaleur, les pleurs de sa mère, la santé du roi tout cet amalgame de malheur ne le rassurez pas.

Galo se remémorait les nombreuses histoires parlant du royaume et civilisations de Ritz que lui comptait sa mère étant petit, il se souvenu, selon ses souvenirs que le village de Faz était au fin fond d'une forêt, aux splendides cascades se déversant beaucoup plus loin dans un marais nauséabond, des arbres centenaires grandissant sans limites a flanc de falaise, peu de terre cultivables mais énormément de plantes aux vertu encore inconnues.

Alan : Je … je n’en peut plus !
Galo : Si t’es déjà exténué, tu vas te transformer en fossile dans les prochains mètres que nous allons franchir !
Alan : Mais au moins …
Galo : Une pause ? A ça non, marche ou crève !

La chaleur grandissant, nos amis était arrivé tant bien que mal a la chaînes de montagne que leurs parents leurs avait strictement interdit d’aller exploré par n’importe quel prétexte. Nos amies terrifié à l’idée d’escaladé ce monceau de roc volumineux adoptèrent la méthode moins pénible celle de traversé la montagne d’outre en outre par la grotte qu’empreintes les commerçants, les charrues, les animaux se terrant au fond de leurs trous obscure pour enfin entrevoir les premiers rayons de soleil. L’entré, un brin camouflé fut donc traversé par nos deux amis, pas excessivement rassurez en pleine obscurité.

3 – La grotte aux ponts à pilotis


Alan : C’est toi ?
Galo : Oui, mais rapproche toi, nous risquerions de nous perdre.
Alan : D’accord, le pire est qu’il n’y a aucune indication la dedans !
Galo : oui
Alan : Mais, et si nous …
Galo : Aie, mais lâche moi !
Alan : Comment ?
Galo : Tu me broie l’épaule depuis 5 minute, relaxe toi, il peut rien nous arrivé
Alan : Oh désolé …

Au fur et à mesure, que nos deux amis s’engouffraient dans cet antre lugubre et sombre, l’air s’humidifiait et se raréfiait à vitesse grand V. Alan n’avait pas la conscience tranquille il sentait un dangers venir, tels qu’une chute mortels dans l’une de ces crevasse vertigineuses, une attaques de gobelins armée de lance aiguisé, une fin atroce plongé dans cette grotte a jamais après un terrible éboulement, mais il n’en fit rien, Galo, d’un regard attentif observait au loin la sortie marqué d’une tache blanche.

Alan tapait avec le bout de ses bottes les pierres, polis par les flots torrentiels qui s’infiltraient la plupart du temps dans cette grotte, suite a des effondrements de galeries souterraines. Les salles abritaient selon la légende des 5 fées, des monstres aux états d’âme abjects, où grouillaient des vermines hideuse au fin fond des gigantesques crevasses.

Soudain, un bruit autre que les gouttes d’eau dévalant les rochers abruptes du souterrain dans de minuscules flaques, autre que les frémissement du vent s’engouffrant comme par magie par le plafond imitant le ronflement sournois d’un Nazgul, autre que les projection de gravier des bottes non lacées de nos compères, un bruit sourd surgis derrière eux. Ce qu’il avait pris pour la sortie de ce long couloir était une longue épée qui luisait à travers une brèche, le souffle qui faisait vibré les oreilles de Alan a chaque instant était belle et bien celui d’un gobelin, arme au point dirigé vers Galo. Les dents pointues en avant, les yeux globuleux, une patte fait en bois, et une espèce de cote de maille habillait ce monstre des cavernes.

Alan : Que …que fait t’on ….
Galo : Bouge pas, le mieux est de …
Alan : Partir ? Fuir ?
Galo : OUI ! Nous faisons point le poids !

Collé contre la paroi, il fit un bond, s’échappa des griffes acérées du monstre, pris le bras de Alan pétrifié, et tenta de fuir. Galo apeuré entraîna Alan sur les ponts en pilotis où les monceau de bois fébrile, se baignait dans de petite rivière souterraine au fond de la grotte. Les craquements de chaque latte de bois, semblaient des os craqués.

Tout d’un coup, le soleil frappa au visage Galo, il se retourna et constata avec soulagement que le Gobelin rebroussait chemin. Galo, comprit que ses être avaient habitude à vivre dans les milieux obscure, faible face au soleil, l’être hideux avait donc choisit de fuir au lieu de combattre à arme inégale, un combat perdu d’avance. Essoufflés, nos amis regardèrent à maintes reprises les alentours avant de s’aventurer dans ce milieu paradisiaque ou bien inhospitalier comme ils avaient habitude de connaître tout au long de ce voyage.

Galo : Ca y est Alan, nous y sommes parvenus !
Alan : Enfin un lieu, dont Ritz rêve depuis dès mois !
Galo : Regarde comme c’est verdoyant, des fleurs, des arbres verts et fruitiers !
Alan : Je ne sais pas quoi te dire ….
Galo : Maman avait raison, c’est un pays où il faut bon y vivre !
Alan : Attend ne t’emballe pas Gal’, c’est peut être qu’une façade, peut être eux aussi, ils souffrent de bien dès maux !
Galo : Impossible, ils ne connaissent pas la sécheresse ici, regarde comme les cascades coulent a flots !
Alan : Certes, mais eux aussi sont peut être en guerre contre une cité rivale.

Galo, rapportait souvent les problèmes survenu dans son pays natale à l’agriculture, fils de paysans et de ZZZZZZZ, il avait tendance à associé l’agriculture à la principale activité de Ritz, sans tenir compte du travail des artisans, commerçants et hauts dirigeants …Avec stupéfaction, nos amis virent la ville de Faz au dessous de leurs pieds, étrangeté de la vie ou bien réalité ? Ritz serait-t-il un vulgaire plateau surplombant les canton voisins ?

Nos amis virent le paradis terrestre en dessous d’eux comme ils avaient tendance à l’imaginé, des huttes fait en bois au beau milieu d’une foret ombragé loin du soleil brûlant du plateau de Ritz, les habitants semblaient croqué la vie à pleine dents loin du tapage incessant de la capitale. Les personnes, les toits des maisons étaient microscopiques, mais Galo distinguait tous ses petits détails au loin avec un enthousiasme grandissant !

Les écrits des ancêtres décrivaient le paradis comme un vaste endroit, aux créatures extraordinaires, mythiques, inconcevable dans notre monde. Où l’homme se sentirait léger comme l’air, où il pourrait planer au dessus des sommets des montagnes, frôler les crêtes des vagues, jouir de tout les bienfait des dieux sans jamais ressentir l’ennui, où l’homme trouverait ses fantasmes les plus fou, ses envies les plus chère dans le monde auquel il rêvait. Voilà de quoi le paradis ressemblait dans les esprits de chaque individus venant de Ritz, peut être que les autres civilisations l’on t’ils trouvés, l’ont t’il adopter, cette manière de vivre s’appelait la liberté et encore à ce jour.

La liberté, voilà un mots assez curieux pour tout être emprisonné, on matérialise trop souvent les êtres non libre par de vulgaires prisonnier écervelés, menottés, séquestrés, mais il existe une autre façon de concevoir la liberté, celle que toutes personnes peuvent ressentir, dans les moments délicats, celle ou l’ont est mis a l’écart par l’apparence physique, mentale, ou bien par des goûts, des choix différents de cette masse d’individu conçue dans ce même moule, cette masse est appelés : société. Dans le monde de Ritz cette société est composé essentiellement d’artisans, commerçants, physiciens, mages, prêtres, brigands, certes tous égaux mais ayant le même état d’esprit, et des gens un brin plus original, différents est désigné comme fou, l’originalité ne tue pas, au contraire elle permet d’apercevoir cette société étouffante sous un regard abstrait et détaché.

[Mais revenons à notre sujet]


Le regard de nos deux compères étincela de milles feux, comme une de ses nuits étoilées où chaque soir, Alan émerveillé s’endort au gré de sa raison au pied d’un arbre devant l’une des merveilles de la nature que Flora et Ademos (dieu de la lune) eut raison de crée. Nos amis longèrent la corniche glissante qui fait office tout de même de route qui relie Faz à Ritz.

Galo scruta l’horizon une dizaine de fois, avant que de s’engouffrer dans cette dense foret aux arbres étonnants composé à première vu d’un tapis de roses pourpre, d’arbres d’Ipolapse aux nombreuses vertu odorantes, d’un tronc assez court aux feuille bombé touchant lourdement le sol jonché de pavé étroits et polie par le frottement continuelle des charrues faisant le voyage jusqu'à Ritz. Des oiseaux de milles couleurs se perchent au dessus des tètes de nos héros, la foret semble s’épaissir de plus en plus, des lianes, hautes herbes, serpents venimeux faisant leurs apparitions, obligeait Alan à faire la grimace.

4 – Faz


A l’approche de Faz, Alan se détendit et toute l’impression qu’il avait accumulée s’envola. Nos amis furent surpris que la ville ne soit pas munie de murailles pour combattrent les attaques ennemies. A même la terre, les villageois vaquaient à leurs occupations. Certains revenaient de la chasse avec des peaux de bêtes emballées dans des feuilles d’Ipolapse, d’autres ayant une multitude de cadavres de Laminos (sorte de lapin aux longues pattes), Cenavolles (sorte de vers immense se goinfrant d’écorce, une nourriture saines et médicinal) et enfin de Manilants (sorte de cerfs à deux jambes, ayant une petite trompe). Les villageois semblé prêté intension aux nouvelles venues étrangères. Galo et Alan d’un pas décidé s’installa au milieu de cette grande esplanade qui fait office généralement de grande place.

Alan : Tu avais raison, c’est véritablement le paradis ici !
Galo : Les gens semblent heureux malgré la pauvreté de leur canton.
Alan : Tu as vu leurs peaux de bêtes, leurs trophées de chasse ? A mon avis ils manquent de rien ici, car après tout ceci est vendu à Ritz hors de prix !
Galo : Peut être qu’ils l’ont trouvé, eux, leurs idéal de vie, où les gens vive de rien, mais on tout de même le minimum de bonheur, ils vivent de choses simple.
Alan : Tu as raison, au lieu de vanter le mérite de Ritz à travers le royaume on devrait plus regarder autour de nous et de s’en inspirer.

Au milieu du village, on distinguait de grandes maisons en bois au toit de branchage, les monceaux de bois étaient fixés à l’aide de racine d’un arbre encore inconnu aux yeux des étrangers. La ville comportait un vaste réseau fluvial qui alimentait les moindres parcelles de terres cultivables, fontaines …

SUITE BIENTOT : )
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MessageSujet: Re: Ritz l'aventure !   Ritz l'aventure ! EmptySam 9 Avr à 20:41

Voici la suite du chapitre 4 - FAZ : su


Des tours en bois culminaient à plusieurs mètres du sol, se situant à chaque extrémité du village, ce mystère devait être élucidé, mais nos deux amis contemplaient les moindres détails de cette ville où l’étrangeté régnait. De plus les tours étaient munies de filet immensément grand qui s’accrochait les unes des autres.

La grande place était construite en pavé, avec des rangé de petits arbustes, des ponts où de petits ruisseaux passaient à travers et les bâtiments administratifs, temples … Car même si les gens ici, pratiquaient la même langue que nous et le même culte Shiguino, en vertu d’un meilleur commerce, les habitants de Ritz ne connaissait pas plus ceux qui avaient souvent appelés « les homme foret ».Il y avait une grande communauté de mage dans cette ville, ils portaient tous une soutane dans les tons orangés, au dessus de cette voûte en branchage, nos amis sont entré dans l’auberge la plus proche, car ils savait que la santé du roi était entre leurs mains, et ce n’était donc pas le moment ni le lieu de traînassé. C’était peut être une impression, mais la nuit semblait tombé rapidement ici.

Le cadre de cette auberge était bucolique, diverses glycines parcouraient le long de la charpente en pierre, la maison possédait des colombages bruns tout le long de ce mur bordé de géraniums blancs.

Une fois à l’intérieur nos amis tombe stupéfait, devant un endroit chaleureux, vivant et conviviale. Des tapis multicolores jonchaient le sol, un comptoir en bois accueillait les visiteurs, une estrade était érigée au centre de la salle pour organisé des spectacles le soir. Il planait une odeur d’encens et de tulipe fraîchement coupée. Alan fut émerveillé par ce cadre poétique, tellement emballé qu’il s’informa auprès d’une veille personne, qui étaient elle aussi accoudé au comptoir.

Alan : Monsieur, vous êtes aussi un voyageur ?
Le vieux : Non, je suis ici en temps que mage, je pratique la magie blanche à travers tout le royaume de Ritz.
Alan : Oh vraiment ? Je trouve les alentours de Faz sublime, sa convivialité ressort en tout points, les gens paraissent ici apaisé, stimuler par une grande joie de vie, ses forets sont d’une beauté inégalé à travers le royaume me semble t’il ?
Le vieux : Vous avez absolument raison, les gens ici sont décontractés, il vivent à l’écart de l’emprise de Ritz et ne s’en porte pas plus mal.
Galo : L’aurais ton trouvé, l’homme que le roi m’a chargé de le trouver ?
Alan : Galo, tu me sembles songeur !
Galo : oui …oui. Monsieur quel magie pratiqué vous exactement ? Une magie médicinale ?
Le vieux : Vous avez vu juste, je pratique belle et bien de la magie médicinale pour les voyageurs pris de terrible fièvre. Je suis l’assistant du doc. Guyard. De plus nous nous sommes installé ici pour la grande diversité de fleurs que regorge les foret d’ici.
Galo : Guyard ! C’est son assistant !
Alan : Mais en faites, pouvez vous répondes à quelques de mes question sur le …déroulement de votre village ?
Le vieux : Ah, mais volontiers !


Alan : Voilà que font ces filets accrochés dans les arbres aux dessus de nos tètes ?
Le vieux : Ha ha ha ha ha, vous êtes belle et bien des voyageur, vous n’êtes donc pas au courant ?
Alan : Non !
Le vieux : Hé bien, depuis quelques mois, nous souffrons de vols répété à travers notre village.
Galo : Des vols de quel genre ?
Le vieux : Des vols de nazgul pardi ! La principale marchandise que peux offrir Faz au reste du royaume est ses nazgul, nous les revendons au marché de Ritz, à Taria et diverses autres foires. C’est pour cela que nous avons érigés des filets aux bords de la ville pour ainsi en capturer un maximum, car ces bêtes là, lors de la période de reproduction aiment se cacher dans les denses forets de Faz. Bien sur depuis ses nombreux vols, nous avons arrêté bons nombres de personne suspectes, mais sans connaître la vrai destination des nazgul une fois capturés et le meneur de ces affreux vols perpétuelles.
Alan : Mais, ça m’as l’air d’être un immense réseau !
Le vieux : C’est exactement cela le problème, les autorités de Faz et Ritz ne sont jamais d’accord, et ne travail pas au même endroit, nous n’avons réussit qu’à effleuré le réseau …
Galo : Pouvez vous nous conduire à votre assistant le docteur Guyard ? C’est le roi en personne qui m’envoie rechercher des herbes extrêmement rares, que votre cabinet seul, possède.
Le vieux : Bien entendu veuillez me suivre !

Le vieux était minuscule et était comme qui dirait bien portant, il avait des postiches et une fine barbe qui longeait sa lèvre inférieure. Le vieux sorti en premier, Alan et Galo le suivirent à la trace de peur d’être berné, mais ce n’était sûrement pas le type de la maison. Nos amis traversèrent les plus belles rues de Faz, avec ses platanes immenses, ses fleurs sauvages qui tapissaient comme par magie les moindres recoins.


Une fois au pied de la maison fait de bois du sol au plafond, le vieux toqua à la porte en signe de soumission devant son maître. Mais personne n’ouvra, il est devenu affolé il entra sans tenir compte des ses invités, il descendu en trombe à la cave là ou se tenait le labo, car une épaisse fumé mauve sortait des escalier en colimaçon.

Soudain un crie déchira la nuit étoilé, nos amis accouru dans la cave, tout se trouvait sans dessus dessous, les grimoires brûlaient à petit feu, les potions était brisé, un liquide inquiétant rampait au centre de la pièce. Cette pièce était composée de nombreuses étagères aux milles grimoires, des tables aux centaines de fiole, vasques … tout était anéanti. Un sentiment de culpabilité s’empara de Galo, il savait que le crime avait été commis depuis peu et lorsque cela s’est produit nos amis étaient en train de siroter un cocktail à base de fruit exotiques.

Le vieux chercha partout, Alan e regardait et lui posa une dizaine de fois la même question : « Que cherchez-vous ? ».Le vieux ne répondit pas, trop préoccupé à ses petites affaires. Soudain il se mit à genoux dans cette flaque de produit odorants et pria à la déesse du courage de retrouver Guyard.

Galo : Guyard n’est pas ici ?
Le vieux : J’ai bien peur que non …
Galo : Vous vous foutez de moi ? Le roi risque de mourir à tout instant, nous avons perdu trop de temps et le temps c’est la vie, pour notre ville, pour votre ville, pour le royaume !
Le vieux : Ce n’est pas à moi qu’il faut s’y prendre ! Mais a lui même !
Alan : Comment ça ? Il ne sait pas volatiliser tout seul de son plein gré !
Le vieux : Eh bien …
Galo : Mais tu vas parler vieux fossile ?
Le vieux : Voilà … le docteur Guyard, est depuis certains temps très bizarre, il fait sans arrêt l’aller et retour entre le laboratoire et le manoir du docteur Brome.
Galo : Hé bien si ça lui chante !
Le vieux : Calmez votre ardeur et laissez moi finir … Il est sans arrêt sous hypnose, c’est pour cela que vous me voyez en larme. Vers le soir il revient à Faz détruire petit à petit son cabinet, et s’en va vers le manoir du docteur Brome.
Alan : Qui est ce doc. Brome ?
Le vieux : Le doc. Brome est un ancien sorcier menaçant de détruire la foret aux alentour de Faz, il est dirigez par le Malin. Son manoir est un lieu maudit, personne ne s’y est aventuré, depuis le doc. Brome est mort, mais on y révèle des choses inquiétantes.

Galo : Comme ?
Le vieux : Eh bien des créatures abjects y vivent, et les soirs fortement étoilé comme celle-ci, ont entend leurs cris jusqu'à nos oreilles !
Alan : Galo …je crois que c’est sérieux là ! Je pense qu’il va falloir botté le cul de cet enfoiré, non pas pour prendre la potion pour notre roi, mais pour libéré ses gens de cette peur omniprésente.
Le vieux : Mais je ne peut vous dire, si vous aller pouvoir convaincre le doc. Guyard de vous aider.
Galo : Il n’a pas tord, mais je fais ça pour le roi, il le faut, c’est malheureusement mon devoir.
Le vieux : Vous êtes brave ou bien fou. Que la déesse Couraje soit avec vous.

[Nos héros ont le soutient de la déesse Couraje !]


Nos amis quittèrent le laboratoire, traversa la grande place. Cela déchira le cœur d’Alan de devoir se séparer d’une ville aussi homogène et aussi bien conçu, pour une fois, une ville a su faire un paradis en société, un paradis dans l’environnement. Alan et Galo passèrent au dessus de ses ponts qu’ils avaient tant admirer, sous ces chutes d’eau cristalline venant de la montagne aux divers ponts à pilotis. L’eau des cascades projetait une multitudes de gouttelettes qui les rafraîchissaient, de plus derrière cette masse d’eau, Alan voyait le village de Faz ondulé, comme la fin d’un beau rêve, ou il devra affronté la dur réalité des marais.

La cascade s’instillait de mille feux, on aurait dit les jours de fête à Ritz, lorsque le royaume fête l’arriver de la pluie, de la virginité, de la neige quand les cotillons tourbillonnent aux grés du vent sur la grande place où siège le palais royal. Nos amis longèrent donc le ruisseau alimenté par la cascade, l’eau sembla de moins en moins pure et laissait place à une sorte de boue immonde et mal odorante.

Soudain, un rugissement malsain venant d’un buisson effrayât Galo. C’était un Clapito, appelé couramment grenouille des champs, elle regarda Galo d’un air intrigué, puis commença à attaqué ce dernier. Alan intervint et lui régla son compte en deux coups d’épée.

5 – Les marais


Galo présentait un danger immense pesant au dessus de Ritz, mais lequel ? Le vols de nazgul, était t’il plus important que la santé du roi, ou bien la mort du docteur Guyard ? Il ne savait pas par quoi commencer, tout se qu’il savait c’est qu’il se dirigeait vers le manoir du Doc. Brome.

Nos amis marchèrent sur la rive gauche du marais, à droite le court d’eau si limpide était devenu boue et désolation aux yeux ‘Alan. Plus rien n’avait de sens, pourquoi faut t’il qu’un paradis donne naissance à un enfer ? Des animaux grouillaient dans ses répugnant marais, sans honte, ils s’exhibaient à plat ventre dans l’eau laissant leurs mâchoires béantes ouvertes. La végétation se faisait plus rare, les parterres fleurs disparurent aussi tôt l’entré dans le marais, certaines espèces d’arbres disparurent pour faire place à ces arbres typiquement marécageux : le Liané-arbri. Le Liané-arbri, est un gigantesque arbre mais le tronc n’est pas uniforme, le tronc n’est pas un bloc, mais un amas de lianes qui jaillissent de la terre pour enfin à plusieurs mètres du sol faire apparaître les première feuilles.

La rive devenait boue, nos amis s’enfoncèrent tout doucement de peur d’être avalé par ces alligator et autres reptiles plutôt d’un caractère antipathique. La boue montait jusqu’au bassin, cela ralentissait les moindres gestes, malgré que le temps était compté vu que la santé du roi déclinait de jour en jour, peut être était t’il mort ? Cette solution finale de sa quête ne parvenait même pas aux pensé de Galo.

Nos amis s’enlisaient tristement, il ne pouvait rejoindre la rive trop haute, il ne pouvait que continuer, le pire était qu’a chaque mouvement des pieds, le corps s’enfonçait de plus en plus et en restant immobile, c’était pratiquement le même cauchemar. Alan vit des renouent autour de lui comme si de petites torpilles l’avaient pris pour cibles, mais ce n’était que de petits alligators qui ne faisait que de mordiller le mollet des voyageur en recherche de chair fraîche. Le cadres hostile ressemblait à une cathédrale, les tronc d’arbres semblait les piliers soutenant les voûtes qui était matérialisé par les branches, le plus extraordinaire, c’était les emplacements régulier des végétales.

Alan : Regarde !
Galo : Où ?
Alan : Là bas, une petite colline, avec des maison habité !
Galo : Ma parole tu as bu ? Je ne vois strictement rien !
Alan : Suis moi, et tu verras !

Alan semblait dire la vérité, mais qui aurait l’idée de s’installer ici aux beau milieu d’un marais nauséabond ou grouille la vermine ? L’ombre menaçante de la colline prenait une allure tout à fait nouvelle lorsque nos amis ont touché avec délicatesse le pont à pilotis. C’était belle et bien une île ! Une île entourée de marécages, de courts d’eau boueux. La maison implantée au centre de la colline avait des peaux de bête séchée entreposée sur des pics horizontales.

Soudain un homme entendant des bruits de pas s’élançât vers eux en criant des obscénité. Alan surpris fit deux sursauts, Galo se mit devant Alan et menaça le fermier puant l’alcool par sa longue épée dorée. L’homme d’une quarantaines d’année se tut et regarda avec méprit le bout de la lame ensanglanté de Galo.

Fermier : Non …non, je vous en pris, je ne suis qu’un marchand de peaux.
Galo : Un marchand de peaux ? Alors pourquoi t’installe tu ici, isolé de tout, loin de Faz ?
Fermier : C’est pour mon affaire qui marche du feu de dieu ces temps-ci, les gens demandent sans arrêt de nouvelles fourrures à travers le royaume. Et la tendance en ce moment c’est les fourrures à écaille tels que l’alligator, le Clapito et même de Cenavolles.
Galo : De Cenavolles ? Bien, n’ai crainte, peut tu nous indiqué la route du manoir du docteur Brome ?
Fermier : Que voulez-vous y faire ?
Alan : C’est loin d’être ton problème, alors donne nous la direction.
Galo : C’est pour la santé du roi !
Fermier : Bien …bien ! Si c’est pour le roi, vous feriez mieux de prendre mon hydroglisseur.
Alan : Votre quoi ?
Fermier : Mon hydroglisseur ! Un engin fait pour les marécages, je possède le seul prototype dans tout le royaume.
Galo : Bien le merci, nous le prenons !
Fermier : Prenez donc par la droite derrière le grand talus.

L’Hydroglisseur était enfuit dans un buisson, caché aux regards indiscrets des voyageurs et autres monstres. L’engin avait deux espèces de bouée au pied, un levier en guise de volant comme celui qui se trouve sur les Skyway, et un immense ventilateur a l’arrière. Le vieux expliqua brièvement les commandes et la conduite de l’engin.

En peu de temps, Alan s’est habitué à cette conduite spéciale, il état même doué, fit remarqué le fermier à Galo. Puis nos amis s’enfonçassent dans les marais hideux.

[Nos héros ont acquit : l’hydroglisseur]
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