The last world
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 VRAC

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Tryforce
Dragonien sacré
Tryforce


Nombre de messages : 488
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Date d'inscription : 28/07/2004

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MessageSujet: VRAC   VRAC EmptyJeu 21 Juil à 13:52

Voilà je stocke quelques passage de mes fics .... su

...........................................................................................................

Nos amis suivèrent l'un des chemins rocailleux, blanchis par
le soleil, qui file vers la barre rocheuse du mont Penorkia.
Après tout qu'attend t'on du désert ? Le silence. L'apaisement.
L'inconnu, vierge de toute empreinte.La garantie d'une solitude
retrouvée. Alors, on s'enfonce dans le relief.On se glisse entre
les roches polies et lumineuses.On s'éloigne. De qui, de quoi ?
Peu importe, mais on part au contact de ce désert où le thym
, les genets et autres plantes buissonnières trouvent la force de
s'enraciner.On ne va jamais trop loin tandis que le soleil, la
sécheresse, le pasage furtif d'un reptile, l'ombre planante des
vautours, les ravins encaissés qui jadis servaient de refuge à
de grand brigants.

Allongé a mème le sable blanchit par le soleil au creux d'une
dune les préservant de toute attaque de reptiles et de projection
de sable, l'oportunité d'une nuit toride entre ètre s'aimant.

- à la lumière douce et brulante des bougies
- sa chevelure d'ébène noir cascadait sur ses épaules douce et tremblante allant chatouiller le creux de ses reins
- son regard me tétanisait
- j'était tel un enfant de 8 ans, admiratif devant un spectacle de magie
- d'un geste lent et délicat, elle repouassa sa délicate chevelure encré dans son dos , laissant à l'appreciation de mon regard déjà conquit un sublime visage
- laissant sur le parquet ciré, sa chemise qui cintrait son corps angélique
- elle dégarfa sa jupe noir, uqi semblait la gèné
- elle rouvrit les yeux et cherhca a accrocher d'avantage mon regard dans le sien, véritable mer sans horizon
- désireux et effrayé,
- je sentait le désir me saisir violent, réclamant de sentir et ressentir la chaleur de la peau de l'ètre dévoré par mes incrédule yeux avide.
- je me sentait grand de possèder une tel muse me donnant uen imagination des plus fertile
Laura tu semble exposé à la lumière brulante de bougies fantastique, ta chevelure d'ébène noir cascade sur tes douce épaules allant chatouiller le creux de tes reins. Ton regard me tétanise, tu me laisse à l'appreciation de mon regard déjà conquit ton sublime visage angélique.Je suis tel un enfant de 8 ans, admiratif devant un spectacle de magie.

J'ai l'impression que tes yeux cherche a accrocher d'avantage mon regard dans le mien, véritable mer sans horizon, je me sens désireux de toi, toi ma muse, l'ètre dévoré par mes incrédules yeux avide.

"Je n'aime que deux choses, toi et la rose
La rose pour un jour
Toi pour toujours."
"Les hirondelles ont des ailes pour voler, moi g un coeur pour t'aimer."
"La vie ne vaut pas d'etre vecu si elle n'est pas vecu comme un reve."


C'était lors d'un soir du mois de Septembre, sous une chape de
chaleur intense, les étoiles étincelèrent tel un feu d'artifices
multicolores haut dans le ciel. Allongé à même l'herbe, le lycéen
vaguait à son occupation favorite, celle de rêvé des heures entière
face au miracle de la nature, comme il avait habitude de faire
tout les soirs en haut de cette falaise qui culmine toute la
province de Meligz. Pour sa famille, l'étudiant confiait à la nature
ses pensée les plus secrète, et se remémorait sans cesse les
choses dont il avait fait cette journée. Cette coutume machinal
est devenue une coutume, peu importe l'endroit, rien ne l'arrêtait
par n'importe quel temps et circonstance.

Emmitouflé dans ses draps, les yeux rivé vers la ciel en attendant
perpétuellement l'aurore percé sous ses nappes de chaleurs qui
prenaient à ce moment précis de l'histoire des formes pittoresque.
Les joues caresser par une fine brises d'été, l'homme l'écoutait le
bruissement des feuilles, de l'herbe haute, des piaillement d'oiseaux
au loin et le silence, ce silence qu'offrait la nature loin du tapage
inscécent de la ville, de la moindre concentration de vie. L'étudiant
se senti minable devant le travail titanesque que lutte la nature face
à l'homme et cela depuis des siècle. La nature semblait vivre en
dessous de lui, le lycéen cru voir la terre bougé, les êtres dans
cette foret dense derrière lui semblait communiquer. Les fleurs avait
l'air de poussé a une vitesse faramineuse et se désagrégé en un
temps record dans la terre pour ainsi nourrir les racines et refaire
cela continuellement.

Mais un être fit apparition à travers les fourrée voisin, un être splendide
aux diverses bienfait que a nature lui à donné démunie d'une partie de
ses vêtements, cette splendeur avait pour titre : Femme. La femme
s'approcha instinctivement vers l'étudiant d'un pas certes furtif, mais
tout de même décidée. Après cette élancé à grand pas vers l'homme,
elle se baissa et se pencha touchant l'homme de sa poitrine voluptueuse,
puis embrassa l'homme tombé pétrifié devant tant de charme et
d'élégance. Soudain un bruit indélicat retentit à travers ce cadre
paradisiaque et mystique.

Après une nuit paisible

Un pays pour les bergers, pour les metayers, pour les artisans et les jardiniers, un pays pour les moissons de blé dur et pour les chasseur de Kaîîjo, un pays pour les poètes et les philosophes.Une dizaines de niveaux, serpentent venelles en escaliers et passages voutés, particulièrement appréciés en été pour leur ombre rafraichissante.
Il se cache au milieu de foret de mèlèzes et de prairies d'alpage piquetées de cactus et de rhododendrons multicolors qui avritent uen flore sauvages extremement variées.

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5 - Le Temple et le village Lykaz

La foret des alentour de Faz, avait pour réputation dans les manuel scolaire de Ritz d’être l’une des cinq merveille de la nature, une foret inégalé sur l’ensemble du territoire de Ritz, par sa diversité en matière de faune et de flore. Cette forêt avait pour caractéristique majeure d’être un territoire aux multiples facettes tout au long de la journée, les plus grands adeptes tels que les nomades ou gardien de chasse, se perdent après avoir visité tout les recoins de chaque crevasses et talus par le changement de luminosité changeante à travers les arbres.

En s'engoufrant au furent et a mesure au fin fond de la foret, nos amis découvrit, de petits chemins jonché de gravillons. Perché bien aux dessus de leurs tète le temple Lykaz pointait au dessus des sombres nuages gris, un orage abominable allait se brisé et déverser ainsi tout son eau dans ses vallée arboré. La végétation semblait prendre de l'importance et la faune devenait plus sauvages. La nuit tomba doucement, les arbustres si innofensif prirent des alurres de démons, les petites couleuvres en immense dragons rugisants, les étoiles en multitudes de chauves-souris regardant ahuri nos amis quittant la province de Faz. Ademos fit de tel miracle c'est temps-ci que cela impresiona au plus au point Alan, spécialisé depuis sa plus tendre enfance à décripté le moindre message des dieux.

Une légère brise de parfum exotique exaltait les moindre sens de nos amis, ils n'eurent pas coutume de sentir autant de volupté semblable.Ses palmiers dégagait une forte odeur doucereuse, les orangers et mimosas ponctuaient ce jardin d'Eden en touches de couleurs grandioses.Le haut pays de Faz était reconnu pur et sincère, un pays de tradition et imaginaire.La vallée du Lykaz, depuis des decennie fut baignée d'une lumière intense faisait scintiller l'eau des rivières.L'air était léger.

Alan : Ah comme c'est grisant, cette aventure, guidé par son camarade de longue date, et non entrain de siroté je ne sais quelques verres d'alcool avec les pecno du coin !
Galo : C'est bien légitime, l'avenir du roi en dépend !
Alan :

Le petit village de Lykaz

Lykaz : Nos jeune héros que la légende nous avait promis !





Lykaz :







[Nos héros ont le soutient de la déesse Flora !]

[Nos amis ont acquis l’attaque : Faucille]


[Nos héros ont obtenu la clef de Légende]






6 - Les marais

Nos amis marchèrent sur la rive gauche du marais, à droite le court d’eau si limpide était devenu boue et désolation aux yeux d‘Alan. Plus rien n’avait de sens, pourquoi faut t’il qu’un paradis donne naissance à un enfer ? Des animaux grouillaient dans ses répugnant marais, sans honte, ils s’exhibaient à plat ventre dans l’eau laissant leurs mâchoires béantes ouvertes. La végétation se faisait plus rare, les parterres fleurs disparurent aussi tôt l’entré dans le marais, certaines espèces d’arbres disparurent pour faire place à cet arbre typiquement marécageux : le Liané-arbri. Le Liané-arbri, est un gigantesque arbre mais le tronc n’est pas uniforme, le tronc n’est pas un bloc, mais un amas de lianes qui jaillissent de la terre pour enfin à des dizaine de mètres du sol faire apparaître les première feuilles et branches.

La rive devenait boue, nos amis s’enfoncèrent tout doucement ils eurent immédiatement peur d’être avalé par ces alligator et autres reptiles plutôt d’un caractère antipathique. La boue montait jusqu'à leurs bassins, cela ralentissait les moindres gestes, malgré que le temps fût compté vu que la santé du roi déclinait de jour en jour. Peut t’il être déjà mort ? Cette solution finale de sa quête ne parvenait même pas aux pensé de Galo.

Nos amis s’enlisaient tristement, il ne pouvait rejoindre la rive trop haute, il ne pouvait que continuer, à chaque mouvement de pieds, le corps s’enfonçait de plus en plus, tout en restant immobile, s’aurait été pratiquement le même cauchemar. Alan vit des remous autour de lui comme si de petites torpilles l’avaient pris pour cibles, mais ce n’était que de petits alligators qui ne faisaient que de mordiller le mollet des voyageurs en recherche de chair fraîche. Le cadres hostile ressemblait à une cathédrale, les tronc d’arbres semblait les piliers soutenant les voûtes qui était matérialisé par les branches, le plus extraordinaire, c’était les emplacements régulier des végétales.

Alan : Sait tu où se trouves le Manoir ?
Galo : Le vieux nous à simplement dis au nord de Faz au beau milieu du marais.
Alan : Oh regarde ce buisson ! Cela ne te dis rien ?
Galo : Le marchand de carte !
Guimolo : Eh bienvenu à vous ! J’ai de nouvelles cartes à vous proposer !
Alan : Tu n’aurais pas de l’herbe en stock ??!!
Guimolo : J’ai mieux que ça mes amis ! Je vous vend pour seulement 80 Pénito : Un sac de Mikil !
Galo : Qu’est ce que des Mikil ?
Alan : Attend, j’ai étudier cela à l’école, ce sont de petits fruits, pas plus gros que des fraises des bois. On en trouve dans les plaines du culte Shiguino à foisons !
Guimolo : C’est exact, monsieur à oubliez de mentionné sa faculté de régénéré en vous deux fois plus de santé que de vulgaire herbes !
Alan : On en prend disons … 3 !
Galo : N’oublie pas qu’on va aux manoir, mieux vaut prévoir large ! On en prend 5 ainsi qu’une de tes cartes, que nous propose tu ?
Guimolo : Je viens juste de finir la carte du Marais, cela sera utile pour vous repérer dans ce piteux endroit.
Alan : Merci.
Guimolo : Je n’ai malheureusement plus rien à vous donner, je m’en vais donc vous dessiner d’autres cartes.

[Vous possédez la carte du Marais ainsi que 5 sacs de Milik]

Sous le poids de l’eau, les branches souples se pliaient et formèrent un toit gigantesque parcourant une bonne partie de ce marécage devenu malsain, aux allures morbides, du fait que les végétaux trouvait de plus en plus la chair humaine ressources nécessaire à leurs yeux. De plus des cris strident déchira de nombreuses fois la nuit, comme l’avait prédit l’assistant de Guyard. Ces cries semblaient être le croissement de rugissement et gémissement incertains.

Le marais même en plein jour était d’une obscurité à faire frémir le moindre mort-vivant, d’ailleurs la nuit tombait petit à petit, les étoiles hautes dans le ciel ne se reflétaient sous aucune forme sur l’eau putride du marais. Le marais semblait parfois comme d’ancien marais salant pris d’assaut par la végétation indomptable. Depuis que nos héros ont quitté la foret dense des alentours de Faz, les marais se sont transformé petit à petit en marais nauséabond ou grouille de plus en plus de vermines de toutes sortes. Les crocodiles ont fait places à de monstrueux cadavres gisant sur les dernières parcelles de terre du marais, les Clapitos ont eux fait placent à de gigantesque vers géant, ces derniers une fois sortie du sol instable vol un moment dans les airs pour enfin s’écraser violement sur sa cible, pour enfin déguster son festin au fond des entrailles de la terre.

Une légende raconte même que ces créatures, une fois leurs proies à travers leurs dents, ces vers s’enfoncent si profondément loin de la surface qu’ils atteignent l’autre coté de la planète. En effet, selon la légende ces phénomènes sont à l’origine de nombreux glissement de terrains, du fait que la surface s’affaisse sur les galeries instables provoquer par ces vers.

Galo : Attention ou tu traîne les pied Alan, ce marais est de plus en plus infester par de terrible créature ! Là !
Alan : Tiens – prend – ça – sale – monstre !
Galo : Là, un autre juste derrière toi ! Sur ton épaule !
Alan : Mais ma parole c’est une invasion ! Han ! Ha !
Galo : oui – han ! Prend ça !
Alan : Eh mais, je ne sent plus mes jambes, je me sent comme attiré par un rapide !
Galo : Regarde, il nous mène vers cet hameau !
Alan : De la civilisation, mais qui serait assez fou pour vouloir vivre en un tel endroits ?
Galo : La pancarte indiquant la ville à ta droite qu’y a-t-il écrit ?
Alan : Elle est bien abîmée … le village porte le nom de Lagia.

A travers la brume on distingait que Lagia fut érigé sur des piloties en bois, elle semblait ètre constament en mouvement, se fut ahurisant aux yeux de nos héros. Le fort courant du marais avait l'air d'angloutir la ville sous ses pieds. Au loin les villagois semblaient désemparé devant un tel cataclysme, ils agitaient leurs mains, lancèrent des cordes en la direction de nos amis pour tenter de les ramener sur le rivage en peut plus sécuritaire.

...
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