Projet sensationel

color=red]1 - Réveil en Douceur[/color]

La pluie, voilà le temps qu'il régnait depuis plusieurs mois à Osaka (seconde ville du Japon).De violentes tempètes faisaient rage à travers les grands buildings, le port est à l'écart de l'urbanisation dans les quartiers tranquilles.La population se réfugiait dans leurs maisons, dans le métro, dans les galeries marchandes, à l'abris des coups de vents et du déluge qu'il faisait depuis ce matin sur tout le pays.Par endroits les rues étaient devenues impraticables, les diverses voies de communications furent bouchées par de la boue, glissements de terrains, éboulements de roches et autres cathastrophes naturelles qui frapperent énormément le Japon ces temps-ci.De grands tsunamis se fracassaient contre les digues bétonnées et le port dans son ensemble, là-bas, les échopes, bateaux, voitures, tout étaient devenue sans dessus-dessous.Mais approchons nous d'un coin d'Osaka habituellement plus tranquille, loin de la cohut du centre ville, loin de l'agitation rurale, nous voici dans la banlieu d'Osaka, dans un quartier résidentiel, où de nombreux étudiants louent un appartement à petits prix (malgré la flambé des prix immobilier au Japon).La nuit fut pour certains inexistante ou pour d'autres fortement agitée ...

La scene se passe dans l'une de ses chambres, la couette en chiffon, les pieds en évantail, l'édredon par terre, le bras touchant le sol trempé, le jeune étudiant dans son lit, s'agite, respire fort, une multitude de gouttes de sueurs perlent son front ...que se passe t'il ?

"- Nooooon, prends donc ma main, la mort t'attend au fond du précipice, allez tend la moi !
- Je ...je glisse, le rebord est humi...humide !
- Allez ...plus que ....quelques centimètres ....
- je ...je n'arriverais pas !
-Je t'en fais le serment, prend ma main Akitay et enleve ton sac, il est bien trop lourd !
- Tu veux notre mort, il y ..
- Lache le !"
- d'ac ...d'accord Alan ... Mais que fais tu ? Non me lache pas !"

Alan : aaha !Ce n'était juste un cauchemar, cela paraissait si vrai, je ressentait le moindre geste, le moindre sentiment ...bon je vais aller me prendre un bon verre d'eau et respirez l'air frais de dehors ...cela me calmera surement.

Le studio était assez somptueux, malgré les quelques posters de femmes dénudées accrochés sur chaque pent de mur, de grandes fenêtres laissaient passer la lumière dans l'appartement. D'un pas lourd, l'étudiant se diriga vers la kitchenette, il avait du mal a immergé de son cauchemar, encore sous l'effet du somnifère, il avait du mal a controler ses gestes, il versa de l'eau du robinet dans son verre, mais il le fit tombé sur le sol.Il ouvra le volet, et se prit une drache à travers le visage, de plus, lui qui tous les matins voyait le Château d'Hideyoshi, ne pouvait guère le voir à cause du brouillard qui s'était élevé au dessus de la ville.Ne se souciait guère du verre brisé, et de la fuite d'eau, nonchalant il se déplaca puis se vautra dans le canapé flambant neuf, acheté avec ses dernières économies après un coup de tète, avant-hier.

Alan : (soupir) j'ai du dormir combien de temps, une heure, aie quel nuit !J'ai du prendre un somnifère après la soirée d'hier, avec Akitay, Monokouri ...je me souviens de rien !

Le jeune homme tourna la tète d'un air désinvolte, pris la télécommande, effleura les touches, la télé inscriva sur toutes les chaines disponibles de la neige, pris par un mouvement de colère il jetta de rage celle-ci, par terre, si bien qu'elle implosa.Dans un mouvement de panique, il pleura un instant, puis il vit les nombreux et différents post-it colorés accrochés sur l'armoire devant son lit, d'un pas pesant il s'en alla vers la petite armoire orné de différentes moulures, mais encore victime de l'alcool il se rapprocha, vit des gribouillage et non sa propre écriture, puis patiement, il attendit jusqu'à ne plus voir flou, l'horloge sonna 10 heures, il ne s'en soucia pas, trop occupée à déchifrer, ce qui était pour lui des hiéroglyphes ...

Alan : alors ... liste des courses ...pas important ..., dette 500 yen à Monokouri ....pas important ....ren....rentrée ...pas impor ....???!La rentrée c'est aujourd'hui, que vais-je faire, il est déjà 10 heures, je suis alors en retard de 2 heures !!?Il m'ont jamais appelé comme d'habitude !

Alan fut comme frappé par la foudre, en un instant il se mit à s'habiller de son uniforme d'une vitesse halucinante, prit son bol de céréale à vitesse grand V, en gromelant sans cesse "il m'ont pas appellé, m'ont t'ils oubliés tout ce qui y sont ??".Tout en se goinfrant comme il avait habitude de faire la matin meme d'une journée d'école, il prit ses clefs et ferma son appartement à double tour.D'un pas rapide tel un marathon, il essaya en vain de rattraper son retard accumulé ce matin en prennant soin de son apparence devant le mirroir.Il s'arrèta brusquement devant l'arrèt du bus qui était drolement tordu par la tempète de la nuit et attendit nerveusement le bus, qui ne pointait pas le capot au bout de la rue.

Alan : Mais qu'est ce qui fou, bordel !Je vais me faire tuer en rentrant au lycée !Mhhhhh je vois ça d'ici, mes copains se foutant de ma geule, les profs en train de me faire un sermont !

Des minutes passèrents par dizaines, le stress montait gravement à la tète d'Alan, il ne pouvait tenir en place, ses jambes flagollaient !Marre d'attendre il prit un raccourcit à pied, il n'était plus en force de courir, la distance de la residence et du premier arrèt de bus, était bien longue.Ses doigts se crispaient, ses dents grinçaient à chaque pas, l'idée de se faire renvoyer le premier jour prennait de plus en plus d'importance, surtout qu'il n'était pas de nature calme.Alan passa devant de veilles échopes vendant du sashimi, tempura et autres thé et saké et traversa de nombreux parcs, les rues se trouvaient recouvertes de boue, de voitures renversées, d'arbres, Alan devait donc pratiquer un parcour du combattant, la tocante, elle, montrait 11 heure.

Alan : Ca y est je suis foutu, à cet heure je traverse Osaka , alors que je dois me retrouver en cours, depuis des plombes !

Quelques ruelles plus tard il abouti derrière le batiment près des cuisines, la façade du lycée ne payait pas de mine, mais derrière cette façade se trouvait de petits jardins fortement bien entretenus des plantes aux allées de sable grossier en passants aux arbres multicolores causé par l'effet de l'automne n'ayant pas totallement disparut avant l'arrivé de l'hiver, tout était fleuris et arrangé avec goût.Cet ancien lieu de culte shintô avait été aménagé il a des dizaines d'années, en lycée très réputé, mais depuis la forte urbanisation d'Osaka vers le milieu des terres, le gouvernement à voulu construire des hauts batiments fort déplaisant à vivre non loin du lycée, cela provoqua une forte délinquance dans ce quartier assez isolé du centre d'Osaka, mais étant assez loin du lieu de résidence d'Alan.

PS : en italique rouge se sont les rève, et en italique tout court les pensées d' alan.

2 - le Lycée

Alan arriva donc devant la gigentesque batisse, un fois le seuil de l'une des portes secondaire (aux diverses moulures en bois décrivant le culte shintô en quelques dessins) franchit son coeur battait très lentement, le stress était si profond qu'il ne ressentait aucun sentiments de nervesité à ce moment..Les couloirs du rez-de-chaussé étaient desert, des petits papiers chiffoné parsemaient les nombreux couloirs.Alan tendit l'oreille collé sur une des portes il entendit des voix de jeunes lycée et de leur proffeseurs.

- Les présentations faites, nous alons passé au programme de cet année matières par matière !
- Ohhhhh non !
- Taisez-vous, en histoire nous allons voir la 2nd guerre mondial, le nazisme, la drole de guerre, l'aide des alliées, Hiroshima et Nagazaki, feront partie de nos cours de fin d'années, y'a t'il des objections ?

Alan : Génial, il en sont qu'au programme, tout n'est pas perdu !Je regarde le tableau sur la cour, qui distribue à chaque élève leurs classe et profs TIT, ensuite je me glisse dans une de ses classes, sans dire un mots et le tour est joué.

Puis Alan se mit à l'oeuvre, il traversa l'aile droite du lycée pour se retrouvé sur la cour, qui n'acceuillais aucun lycéens, et se diriga vers le tableau, de façon discrete en longant les murs, rampant sous les fenètre sans se faire voir par les fenètre qui donnait sur la cour.Une fois la cible à porter de vue, il se leva rapidement et esseya parmis toutes les fiches punaisé, tout les niveaux, toutes les classes, tout les noms, de retrouvé son bonheur et sa place dans ce lycée.Il se mit à sourire en regardant les quelques noms affiché dans sa classe, car il se retrouva, en terminal avec Monokouri, et Akitay ses grands amis.Il jeta un dernier coup d'oeil sur le tableau multicouleur et vit le numéro de salle, ou il devrait ètre depuis des heures.

Une fois montée le 2 ème étage en courant et traversé bon nombres de couloirs qui s'entrecroises sans arrèt il s'arrèta devant la salle 453, d'ou il devrait ètre assit, en train d'écouté comme toute les année les mème paroles de profs différents, seul plaisirs à venir un lendemain de vacances c'est de découvrir l'emplois de temps, et les potes du lycée sans se soucier du programme rébarbatif toutes les années !Il entrouvrit la porte et se glissa dans la salle une nouvelle fois discrètement.Les élèves étaient là attentif.Alan lui se vautrait dans les cartables et sacoches, Monokouri le reconnu et s'exclaffait !

Alan : Et merde elle ne pouvait pas se taire ?Je vais me faire chopé !

Le proffeseur tourné devant le tableau noir inscrivait dessus le plan du programme Pysique/chimie par son ecriture la plus soigné qui soit.En entendant pouffé de rire Monokouri, il s'interromtp d'écrire et se retourna.L'instituteur aux traits grossiers était un petit/gros, d'un certains age fringué d'un costume qu'on en fait plus, ses doigt crochus et courts pointait chaques élèves.Une fois face à face avec les élèves il fronçat les sourcille à la recherche de l'anomalie puis vit ce jeune étudiant qui était en mauvaise posture entre les multitudes de cartables entreposé dans le coin au fond de la salle.

Profeseur : Eh bien, on cherche quelques chose mon ami ?

Alan : Saloperie, je me suis fait capté !

Proffeseur : C'est à vous que je parle monsieur ...

Alan comme pétrifié regarda les èleves et Akitay, rigolés en le montrant de doigt, l'instituteur, lui, recherchait dans ces fiches le nom de cet élève pertubateur au visage méconnue encore dans son esprit.De nombreuses fiches se trouvaient sur les tables des èleves, qui ses derniers été assomé par les paroles de l'instituteur.L'idée de ne rien pouvoir faire pour s'éclipser de la pièce mit Alan dans une situation embarrasante.Fallait'il resté là immobile à recevoir les moquerie de chacuns et ètre couvert de honte, où bien partir d'un coup en claquant la porte ?Alan était belle est bien coincé, il se leva lentement, Monokouri,devenu inquiète pour le sort de son ami, lui murmura à l'oreille de trouvé une excuse très vite.D'un ton d'une grande hésitation il murmura quelques mots :

Alan : désolé, j'étais coincé ...

Proffeseur : Comment ?Parlez plus fort mon ami, je ne vais pas vous terrorisé !

Alan : Je ...j'étais coincé chez moi, la boue avais recouvert toute les rues.

Proffeseur : Hummm, je veux bien vous croire, vous n'ètes pas le seul, à ètre arrivé à l'heure prenez donc place à votre place.Et parlez donc un peu de vous.

Alan fut libéré d'un poid, le stress disparut aussi tôt cette phrase prononcé, il s'assiez entre Monokouri et Akitay, échangea de brefs mots à Akitay, puis se presenta davant la classe toute ouie.Les yeux de l'instituteur obstrué par ses grand sourcils regarda avec étonnement le retardataire.

Alan : Je m'appelle Alan, j'ai 18 ans, et j'arrive en terminale aujourd'hui.

Proffeseur : C'est tout mon ami ?Pas mème de passion, de hobbies ?

Alan : Mais ta geule je suis pas ton ami pauvre fou, mon seul hobbies est que tu te taise !Non, monsieur .

Proffeseur : Pas mème un loisir, un lieu de résidence ?

Alan : Cela ne vous regarde pas monsieur, je ne vous connais pas, je viens juste de venir un instant et sans vouloir vous offensé la manière dont je m'habille, mon lieu de résidence ne vous regarde pas et vous ne devez pas en savoir un mots, alors voulez vous cessez cette interrogatoire qui devant mes camarades tourne au ridicule, ou devrais-je parlé à votre supérieur hierarchique duquels vous vous immisé dans la vie privée de vos propre élèves ?

La phrases paresait longue aux oreilles du professeur, mais après cette vive exclamation de la part de l'èleve il se tait, n'ayant rien a dire il retombe au fond de son siège, et fixais l'élève de ses yeux devenue tènebreux et fort désagréable.La pièce s'obscurcit, les élèves chuchotaient entre eux, l'instituteur était lui muet comme si les mots ne lui venait pas à la bouche.Tout ses binoclards assit devant, implorant le travaille regardèrent Alan d'un air appeuré de voir une telle révolte en ce lieux.Alan s'assit calmement et discuta avec Akitay et Monokouri.

Akitay : Tu lui a claqué le beignet, ça c'est parlé, je te reconnais bien Alan.Pas facile le réveil ce matin, vu la soirée d'hier soir,non ?

Alan : M'en parle pas, le mal de crane que j'avais ce matin, une bonne geule de bois, j'ai du prendre un somnifère pour dormir

Akitay : C'est pour cela que t'était en retard ce matin ?Tu le savais qu'il on supprimé la ligne de bus vers ton quartier ?

Alan : No...non, j'aurais attendu des heures, mais le plus dur, c'etait d' immergé de mon sommeil, et le temps de venir à pied au Lycée.

Monokouri : C'est vrai que tu habite assez loin du centre d'Osaka et du Lycée.

Akitay, est un grand jeune garçon très futé et exésivement intelligent, au cheveux brun et long, il avait partagé de merveilleux moment avec alan depuis des années,il a tout de suite été l'un de ses plus grand confident, c'est une personne où l'on pourrais faire énormément confiance, mais aussi un protecteur vu ca grande carrure.Monokouri, est une fille vive d'esprit, toujours éclatante de vie, infatigable, bavarde, son seul défaut s'occupe des affaires des autres, petite brunette aux yeux écarquillés et d'un vert intense.Après vous avoir décrit les compagnons et protagoniste de cette histoire, la sonnerie retentisait dans les moindres recoins du lycée devenu bruyant sous les bruits de pas et des cries de joies, certains cachaient leurs peine en s'isolant à la vue de passée une année entière avec de blaireaux, racailles ...

PS : Le second épisode n'est pas finis ... /clin do'eil/

En un mots de l'histoire :

Tout d'abord on s'interrese à la vie de Alan, le héros grçons de l'histoire, puis ensuite Sofia l'héroine fille de l'histoire.

Sofia va voir son père pendu alors qu'elle rentrait d'école, elle est dégouté de la vie et va donc se suicidé dans le port, mais avant de sautez, une mains la tiens c'est Alan (ou un autre type)

Si c'est alan ça conclue bien l'histoire, mais une autre eprsonne ça fait un pote pour Sofia ...

Puis il vont tout les deux mourir et ètre lancé dans une pièce, cette pièce, impossible de partir, et en fait pour avoir la vie sauve il faut avoir la meilleur note, comme ça il retrouveront leur vivant ...mais si il échoue à la mission il meurt et se retrouve au paradis ou enfer com'd'habitude, lol !

Chaque mission fini il pourront retrouvé leur vie normale sans dire ce qu'il ont trouvé là bas ... /clin do'eil/ /clin do'eil/ chaque mission se trouve dans un endroit différents.

En fait c'ets comme un jeu, avec des missions, puis nos amis (alan et Sofia) vont voir leur amis venir dans le jeu (il sont mort) pour els aidez. /lol/ Il vont y parvenir, d'ailleur une histoire d'amour va se filé entre Sofia et Alan, une fois eut 20/20 ils seront expédié dans leur monde et vont dire ce qu'il ont vu, mais malheuresement personne n'y crois.


C'est dur a expliqué mais vous allez voir en écrit c'ets génial.L'histoire touchera à tout :amour, tristesse, effroie, peur, sanglant, psycologie, otut !

D'ailleur celle : le sceptre de Zertiganos je vais la mettre à l'interrieur de cet fics (en changeant beaucoup de chose) et pareil pour l'amour pour l'eternité.