Projet sensationel (

Voici la suite de mon histoire avec le topic "projet sensationnel", ce n'est pas la suite directe mais un bout beaucoup plus tard.Ca me sert de lieu de stockage, quand mon ordi plante, s'il vous plait n'effacez pas ce topic !

5 - Le Corridor


Une fois nos amis disparus dans la petite pièce humide et étroite, ils virent en dessous d'eux, le vide.Ils tombèrent précipitament, n'ayant pas le temps de vraiment comprendre ce qui se passait ...Ils virent autour des parois aux diverses intensités de couleurs qui se composaient au fur et à mesure qu'ils progressaient dans ce couloir lumineux, Sofia et Alan furent happés par le bas, par on ne sait quel force surnaturelle. ...une légère brise caressait les joues pale de frayeur de Sofia, elle semblait désemparée, n'ayant plus rien a faire elle se laissa pousser par le bas .Cette force surhumaine, n'était certainement pas une main divine qui aurait poussé ses hommes dans l'abime, le centre de la terre, dans ce monde fait de désolation, de flamme, de chaleur et d'effroie.Qui aurait eut une idée pareille, de voir souffrir à petit feu, ces hommes et femmes porteurs de vie ?

Alan tentait de remonter en haut de ce corridor interdimensionnel mais ses membres ne répondaient plus aux obligences du jeune étudiant. Sofia étant légère comme une plume, elle tentait à plusieurs reprises de rattraper Alan, lui qui semblait en grande difficulté, au plus profond du gouffre, la charmante demoiselle eut peine à le voir, la distance trop grande les séparait l'un de l'autre.La combinaison qu'ils portaient les démangeait au plus haut point, nos amis, n'ont alors jusqu'à maintenant jamais eut la chance de porter un tel uniforme.Alan et Sofia virent au dessus d'eux la vieille personne qui les accompagnaient, elle se débattait de toute ses forces.

Alan ne pensait rien, il attendait, c'était malheureusement la seule chose à faire, les couleurs flamboyantes dansaient autour de nos deux compères, Alan restait immobile, il était comme ligoté, aucun membre ne réagissait, droit comme un "i", il dévalait la pente vertigineuse de cet abîme.Ce voyage fut ponctué de sensation étrange et connu de tout ètre normalement concu les sensations de chaud, de froid, d'asphixie, comme si le dieu que Alan n'avait guère choisit apportait des séries de tests sur ce corps si fragile et si pur qu'il était.Alan ne fit rien, trop préoccupé à ce qui allait se passer par la suite ...Des innombrables frissons provenant de nul part traversèrent le corps fébrile de Sofia.Soudain un bruit strident immobilisa les pensées d'Alan, une sueur froide passa sur son front, il eut alors non pas des flash-back, mais des sortes d'images qui n'avaient ni queue ni tète ...

Alan : Ces quoi toutes ses sensations, cela me donne la chair de poule !Je ne peux pas bouger pour ainsi m'échapper !

Les images se succèdaient rapidement, jusqu'a brouiller les esprits de n'importe quel homme pris dans ce piège imprevisible et d'un tantinois sadique. Les yeux d'Alan et Sofia se fermèrent ...Alan tentait tanto bien que mal de lutté contre ce sommeil qui allait ètre pour lui profond, il n'en fit rien de cela, il allait tout simplement subir un rève "secondaire".Une mer tourmenté, des rues sombres, des grues évacuants des déchets d'une mer sale et pollué, des epaves au plus profond de la mer, des passerelles, des créatures au innombrable tentacules ...voilà ce que Alan et Sofia voyèrent dans leurs tète.Serais-ce pur fiction, un simple rève, ou belle et bien ce qui allait se passé par la suite ?

Puis survient une voix non familière dans leur esprit, comme si cette voix prenait le controle des moindres geste des personne prenant ce corridor, cette voix était d'un calme allarmant :

Bienvenue à vous, vous allez dans quelques temps entré en liaison dans le monde BX54-Y, qui a pour autre nom : Le vieux port., vous avez vu, je l'espère dans vos miserables tètes, quelques clichés de ce monde, pour ceux qui n'ont pas eut ce flash, mourront.N'ayez crainte, voici la suite des instructions que Myranos à oublié de vous signaler :

- Ne nagez pas trop souvent dans la mer, des créatures étrange s'y baignent.
- Votre mission est de retrouvé Lankass et moi mème.
- N'assayé pas de rester les bras croisé, tué tout ce qui bouge.
- Ne faites confiance à personne, sinon vous allez périr.

Bonne chance, et que LE ou LA meilleur(E) gagne.


En revenant à eux, leurs esprits encore un peu embrouillé, ils virent la sortie.Alan fit un petit crie, comme si le sentiment qu'il resentait ne savait choisir entre de la joie ou bien de la terreur.N'ayant aucune idée, où il allaient tombé, le sol se raprochait à une telles vitesse, qu'il ne virent rien venir, projetté tels une catapulte, nos amis se retrouva au beau milieu de l'eau.Se qu'ils avaient pris pour le sol, n'était q'un vaste océan.Le voyage leurs parraisaient long, mais il fut en "réalité" exesivement court.

Alan : C'était quoi se rève parallèle, toutes ses sensations, ses frissons, ses images furtive ?

Certaine chose vont ètre rajouté dans ces histoire, mais de petit détails ...Un conseil regardez pas les fautes, lol !

6 - BX54-Y - Le vieux port

Comme par enchantement, les membres furent libérés des engourdisement, ils pouvaient donc nager dans cette mer putride.La premiere attention d'Alan fut de rechercher Sofia parmis cette immensité qu'est l'océan, il fit quelques brasse, mais rien, le néant, pas une femme, il vit au loin ,la cote à quelques lieux d'ici.Dans ces conditions, la solidarité et l'unité des hommes font la force, mais un homme seul, ayant vécu des choses inimaginable depuis plus de 3 heures, ne peut que mourir ou devenir fou.L'esprit d'Alan s'éclaircisait, il avait retrouvé toute sa tète, il se souvenait de tout, c'était la seconde chose qu'il l'occupait.Alan s'excunta la voix :

Alan : Sofia !!!!Sofia !!!!!Mais merde elle est où ?Faut absolument que je retrouve cette fille !

Il fit quelques brasses en nagants au travers des barils, papiers gras, il l'a vit !Elle était tombé sur une solide embarquation, celle qui transportes les detritus, venant de nul part, à première vu Sofia fut salement ammoché, elle saignait de toute par, la chute du corridor en cet univers inconnu était brutal, certains y survécu, d'autres non.Alan se hisa sur l'embarquation, regarda les moindres détails, sa pupille se dilata en vue de ce corps sans ame.Il fut pétrifier, il n'osais guère s'approché.

Alan : Merde, et ...et si elle était morte sur le cou, le sang coule à flot !Eh mais ...mais elle bouge, elle use toute ses forces pour me regarder !

Ses yeux d'un bleu intense s'entrouvris avec difficulté, ses mains si douce, mais ensanglanté remua, ses joue devinre d'un rouge écarlate, avec une extrème lenteur, la jeune femme encore sous le choc se leva progressivement.Alan fit un geste de se rassoir, elle obéit avec sourire.Les cheveux emmelés, les genoux écorchés, elle s'avanca et pris d'un vent de panique se jetta au cou d'Alan, qui lui était resté là sans rien dire n'ayant aucune phrases, aucun mots, aucun son à émettre de sa bouche.

Sofia le sera fort contre sa poitrine voluptueuse, Alan rougissait.Les mains de la belle blonde étaient froide, éssoufflé elle prononca quelques mots, puis se tut..Alan, peur qu'elle meurt devant lui et dans ses bras la posa près de lui parmis les nombreux cartons.Le jeune homme enleva ses habits, les mirent sur le dos de Sofia et frotta de toutes ses forces, pour tenté de la réchauffé.

L'embarquation elle, continuait son voyage sur cette eau putride et nauséabonde, ou grouilait comme l'avait indiqué la voix du rève, de drole de bètes, le bateau se frotta aux nombreux barils, morceaux de bois et de férailles.Elle s'approchait à vive allure sur cette terre, cette terre, où l'industrialisation règnait en maitre, des entrepots à perte de vue, des gigantesque grues ramassait toute sortes d'objet dans cet océan.

Il commençait à faire nuit, sur ce monde dit "parallèle", l'embarquation croisa une des leurs, Alan se leva et regarda d'une extrème discrètion comme il avait fait il y a quelques jour auparavant dans la cour de son lycée à Osaka.Derrière les cartons, et autres objets insolite, l'étudiant vis ces étranges créatures à tentacules, au membres aplatis et flasques gigotée à l'avant de leur embarquation.

Alan : Merde , qui c'est eux ?

Sofia réchauffé n'osait pas se relevé, elle le suplia du regard de lui en dire un peu plus.Alan la compris et lui fit parvenir des détails qui fut terrible annoncé à un ètre si fragile : la femme ...Leur regard se croisère, puis Alan expira un léger soupir de détresse, rien n'est aussi difficile que d'avoué la triste vérité, dans dès cas extrème.Le mensonge aveuglement de la sincérité est une arme de "soulagement", mais dans ce cas le plus étrange qui soit, rien de cela, le mieux c'est de se taire !

Alan : je ...je ne peut lui dire la vérité !
Sofia : Alors monsieur ?
Alan : Mais pourquoi m'appelle t'elle monsieur, j'suis un gosse comme elle !
Sofia : Alors vous osé me dire la vérité ?
Alan : Mince, obligé de lui rétorqué la vérité !Je ...des intrus !
Sofia : Des intrus !!???! Vous ne pouvez pas m'en dire un peu plus, sur ces "personnes" ?
Alan : "personnes" serait un bien curieux mots pour les désignés !
Sofia : Ce sont les mème personnes dans la salle où nous nous sommes rencontré ?
Alan : Disons que ses "personnes" ne doivent pas ètre à leur place ...
Sofia : Comment ça, vous voulez dire que ...nos rèves, ces créatures tentaculaires, sont ici ?
Alan : Oui, j'en suis désolé ...

Soudain, le visage de la demoiselle palie, elle était livide, elle cacha sa tristesse derrière ses mains posé délicatement sur ses yeux en pleur .Elle trembla de peur, Alan ne voulant guère la brusqué fit un pas en avant, il jauga la situation, fallait t'il livré bataille, ou bien fuir devant une tels attaque ?Le mieux, serait de survivre, sans prendre le risque de se fritté à ce genre de monstres venant des abime de l'enfer, ou d'une autre planète.

La meilleur solution, est celle ou les Yakuza n'utilisera jamais : la fuite.Cela déchira le coeur d'Alan, mais pour la sécurité de Sofia il pouvait soulever des montagnes pour elle.Le bateau, sous cette nuit sombre et étoilé poursuivait sa route sur cet océan verdatre, où parfois des ombres étranges dans ce fond marins effrayais au plus au point Alan.

Le bateau au créatures tentaculaires, disparaisait dans ce brouillard qui était descendu sur cette ville fantome.Soudain, un bruit sourd, fit vasillé l'embarquation.Après mure réfléxion, c'était le moment idéal, le bateau avait enfin touché terre, il serra le bras de Sofia, grimpa au dessus de ses montagnes de déchets, et ils se jeta sur le quai à pilotis.La brouillard s'épaisisait cela formait une vrai purée de pois.

A peine avoir effleuré les latte de bois de cet étroit ponton, des troupes de ces étranges monstres, la bouche entrouverte, les tentacules supérieur pointé sur eux arrivait de toute part à l'a recherche de ces intrus !

Alan : Mais où sommes nous tombé ?Les voilà qui veulent nous capturé, Sofia ...nous survivrons !

Ces quelques mots créa une sorte, de solidarité entre les deux ètres, plus rien dans cet aventure ne les séparera à part la mort, si l'un meurt, l'autre mourra, cela semblait mathématique pour Alan.Les monstres se dirigant lentement vers le ponton ou siègait, pétrifié, les deux étudiant, avaient diverses tentacules, de toutes taille, de forme varié qui trainait dérrière leurs jambes gluantes et vertes, la tète à moiti enfoncé dans les épaules, ces sortes d'extraterrestres venus d'une planète lointaine émeta des gémisements a peine inaudible aux oreilles de nos deux compères.

En voyant ce spectacle effrayant, Alan et Sofia côte à côte décidèrent de fuir face à une tels menace.De plus leurs combinaison n'était d'aucune utilité, Myranos leur en avaient peu parlé.

C'est tres tres bien!!vraiment super!!continue!!c'est un peu psyko mais jadore!!

merci alan, là bientot la suite encore, lol , sinon vous inquiètez aps je procede en partie, donc après je coordinerais tout cela /back/ /back/

alors en fait la fics ets ; psiko, triste, enquiètante, gore, sanglant, mais aussi amoureuse (et belle par moment) !!!

Direct la suite !!!!! /shadock/ /shadock/


7 - BX54-Y - La rencontre

Les gamins coururent à grande foulée, la peur leur avait donné des ailes.Leur pieds emmitouflés dans des chaussure faites en grande partie de caoutchou fort agréable au touché clapotait dans les flaques d'eau qui parsemaient les bords du petit quais à la lueur des lumières provenant des immense grues, leur ombres prenaient des allures énigmatiques sur les murs de toles ondulée des entrepots.Les grues qui remontaient sans relache par leurs bout aimantés du simple barils, aux immenses épaves de rafiots ....

Sofia se retournait sans cesse pour voir la progression de ces individus qui les suivaient, Alan tantait tant bien que mal de creuser l'écart qui les séparait à ces créatures.Sofia se faufila avec une aisance formidable entre les caisses en bois, qui jonchaient le sol entre les bâtiments et l'océan, lui, sauta en l'air de boites en caisses et de caisses en boites, pour ainsi veiller sur Sofia.

Le brouilard se dissipa progressivement, les monstres les coursaient toujours avec une rage jamais vue auparavant au yeux de la jeune étudiante, soudain, pris par un affreux point de côté, Alan tourna dans l'une des ruelles perpendiculaires au quai, Sofia fit de mème, les créatures continuaient sur le rebord du quai.Les voilà sauvé des griffes de ces bètes.

Alan expira tout le stress acumulé depuis ces dernière heures, qui lui avait paru des jours.Sofia, à la grande surprise d'Alan devint d'un calme olympien, pour une sécurité maximal, ils entrèrent dans l'un de ses entrepots, confectionnère un petit nid douillet avec tout objets qu'il trouvèrent au alentour.Un matelat, des bougies, une table, des armes laissez par un cadavre, voilà tout se qu'il avaient besoin.

Alan : Nous voilà hors des griffes de ses créatures !

Sofia : Oui...oui, nous les avons enfin semés ...

Alan : Vous allez bien ?

Sofia : Mais que me veut t'il ?Oui...oui, ne vous inquiètez pas ...

Alan : Oh la la, je vais tombé dans les vappe, c'est une jolie plante que voilà, faut ...que...je résiste !Nous pouvons dormir sans crainte, j'èspère que demain sera un jour des plus calme.

Sofia : Mais il rougit ma parole, cela me gène énormement, faut t'il que je fuit ?Exacte monsieur, nous pourrons demain trouvé ce Lankass, et nous pourrons rentré chez nous sains et sauf !

Alan : Monsieur ?Je ne suis pas "monsieur", mademoiselle, mais juste un étudiant tout comme vous je suppose ?

Sofia : La fuite serais de bonne augure ?Le bon acte ?Pardonnez-moi ...
Alan : Alan !

Sofia : oh excusé moi Alan , je n'ai pas la mémoire des noms, de plus vous paraissez execivement mature vu la façon dont vous vous exprimé.

Un silence survien entre les deux ètres, l'un emmerveillé, l'autre abbasourdit pas un tel personnalité .Alan entendit son coeur palpité a vive allure, ne pouvant rien faire il se laissa porté par son ame, son coeur et non par son esprit.Sofia resplendisait, elle qui avait vu son père mourir devant elle, ne fit rien et écouta cet étrange personnage, qui semblais l'un des plus "normale" des hommes et des femmes apparut dans cette salle.Cette salle lugubre et étroite ou des Hommes se rencontrèrent une fois ètre mort sans rien dire, n'ayant aucun sentiments à partagé, n'épprouvant que le desarois et la solitude.

Alan : J'hallucine !Me...merci

Sofia : Pour répondre à votre question précédente, je suis étudiante à Kamakura, une petite ville bien tranquille.Je pratique toute sorte de matières, les plus utiles pour le toursime, car une fois mes études terminé j'aimerais tenir une agence de voyage à Tokyo, Kobe ou bien Osaka ...

Alan : Osaka ?

Sofia : Oui, Osaka est une ville formidable là-bas se trouve une population extrèmement hospitalière, des rues pavés aux diverses échopes, des bateaux gigantesque traversant le globe tout entier pour apporter toute sorte de marchandises exotiques.Certes certains me disent que Osaka est une ville portuaire aux immense grue un peu comme celles que nous venons de voir, ou bien qu'il y a des industrie crachant des bouffé de fumé à travers le ciel, mais je n'y crois pas.

Alan : Ils n'ont pas tout à fait tord ...les industries, entrepots, grues, sont comme gravé dans le paysage de cette ville, moi mème j'y habitait et j'y suis mort.Au alentour de la ville, se trouvent des quatiers ressidentielles bien paissible, aux diverses parcs fleuris, puis en nous rapprochant de la ville ont peut voir une forte industrialisation, de vieux batiment pisseux ou grouille les plus cruels gangsters d'Osaka, avec leurs couteaux pointues en guise d'armes blanches.Ensuite le vieux quartiers, le centre d'Osaka est dominé par le célèbre Chateau d'Hideyoshi qui surplombe la ville aux multitudes échopes que vous venez de citer.Le littoral est fracturé en petites parcelles qui abritent des ports commerciaux ou de petits ports de plaissance qui se font de plus en plus rare.Mais dans ses ports nous pouvons voir des yachs venant des quatres coins du globe, des navires Anglais, des voiliers Français, Allemands, Portugais ou Espagnol, un vrai carrefour de cultures, de produits, un liue de rencontre : Osaka.Je pense que la moitié d'Osaka est bon à y vivre mais malgré ça l'autre moitié est industrialisé, mal fréquanté ...


PS : Lisez c'est pas si long, lol !

PS (bis) : Le chapitre n'est pas fini, lol !Il faut que nos héros trouve Lankass

PS : Un autre bout de ma fic plus loin dans l'aventure, vous n'ètes pas obligé de la lire, je l'ait mise pour guise de sauvegarde si mon ordinateur bug ....

15 - L’interférence troublante



Alan éloigné de Sofia fut dépourvut d’une force qui faisait sa puissance et sa destinée. Le corridor paraissait toujours inquiétant à ses yeux, tout comme la première fois il ressentie les même effets, et les même frissons. Quand au début du flash back qui allait lui annoncer son but dans ce monde parallèle, il se passa tout autrement.

Bienvenue à vous, vous allez entrer en liaison dans ce monde, vous allez voir parvenir dans vos esprits des images concernant cet univers parallèle, ne tenter rien, vous ne pouvez en échapper ! Suivez les instructions que Myranos vous à parler et tout se passera dans le meilleur des monde !
- Ne croupissés pas longtemps dans la neige
- Pour sortir d’ici vivant il vous faut traversé le laboratoire et …

SCRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII

Zeminach : Y ….y a-t-il quelqu’un ? Répondez !

SCRIIIIIIIIIIIIII

….mourir dans d’atroces …

SCRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII

Zeminach : Y’a-t-il quelqu’un ? Parlez vous ne courrez aucun dangers !
Alan : Putain, qu’est ce qui se passe encore ? On me la déjà faite, et faut voir ou ça ma mené !
Zeminach : Je vois … vous êtes l’une de ces innocentes personnes sous l’emprise de Myranos ! Surtout ne touchez à rien, où allez vous comme ça ?
Alan : Je n’en aie pas la moindre idée !
Zeminach : Attendez je transferts toute vos coordonné sur la ligne BAT, de votre combinaison …
Alan : Mais qui peut bien me joindre en aide comme cela ? Sofia ? A…Alors, du nouveau ?
Zeminach : Oui, vous vous dirigez tout droit vers l’Alaska.
Alan : Mais qui cela peut ’il être ? J’ai bien entendu parlez de neige et d’un laboratoire pouvez vous m’en dire plus ?

SCRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII

Zeminach : Ce doit être le monde CK76-J…un endroit désertique et fort déplaisant à y habité. Selon les coordonnés retranscrites, vous n’avez aucune chance de survivre, vu les monstres qui vous attendent en dessous de vous, le mieux est que ….
Alan : Mhhhh … serait-ce une nouvelle fois un test infligé à notre esprit ? Que quoi ?
Zeminach : Le mieux est que vous recherchiez le PAD dans le laboratoire …
Alan : Pourquoi je chercherais ce fichu PAD, je n’est même pas entendu les instructions pour survivre !
Zeminach : Une fois atterrit, vous trouverez un GYN dans les alentours, pour ainsi suivre mes instructions …
Alan : Mais qui êtes vous ? Qui me dit que vous êtes de mèches avec ce connard de Myranos ?
Zeminach : Faites équipe où …

SCRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII

Alan abasourdit par les paroles que tenait cet homme encore inconnu, restait impassible à la proposition que le lui fit, il hésita, puis d’un air de grande satisfaction il se décida à jouer au double jeu qu’on lui proposa. Il savait que cet décision serait cruciale dans sa vie, l’une des plus importante. Il repensa à chaque mot prononcé de l’inconnu, le PAD, les données de la combinaison, le monde auxquels il devra lutter une nouvelle fois, mais cette fois-ci dépourvut de Sofia.

A ce moment précis de l’histoire il pleura a chaude larmes, au beau milieu du corridor, épuisé par les événement qui venait de se produire, tout ces éléments lui empêchait de penser, mais simplement d’obéir, son âme, sa raison d’être était finalement réduit à néant, son coeur était, lui, meurtrit par le chagrin. L’étudiant rentra en liaison avec ce monde, cet univers ressemblait comme l’avait indiqué Myranos et l’inconnu : au Canada. Le retour à « la réalité » fut moins brusque que celle dans le vieux port, la toute première mission de Alan.

16 - Le Laboratoire


Alan : Ce …cette personne, qui cela peut-il être ? Cette voix me parait familière …

Amortie par la neige le jeune étudiant encore sous le choc, de s’être séparé de sa tendre et chère amie, vit le GYN sous lui, il était miraculeusement pas égratigné, il le pris enleva la neige qui s’était déposé dessus puis fit cavalier seul dans cette immensité glaciale traversant bons nombres de précipices, par de petits ponts fait de lattes en bois raccordé succinctement par des corde rongé mainte et mainte fois par des loups sauvages avoisinant le laboratoire. L’étudiant transit marcha tout en contrant le vent glacial qui s’infiltra dans sa combinaison. Alan éperdu longea la mer, il apercevait bons nombres de manchots, de pingouins, gesticulant sans but sur cette banquise, qui fondait à mesure des siècles qui passait. Ces pingouins ressemblaient à ceux de notre monde, à coté d’eux Alan fit se constat. De pelage noir et blanc, ces pingouins prènerrent peur en voyant Alan au centre de leurs groupe (de 400 mile pingouins), tous s’élancèrent dans la mer.

Zeminach : Bien, vous voilà dans de beau draps, le mieux est que vous rentriez dans le laboratoire, au nord-est de votre position, dans une extrême discrétion.
Alan : Bien, la discrétion, voilà un domaine que je connais des bouts des doigts ! Et ensuite ?
Zeminach : Vous entrerez dans le laboratoire, une fois le PAD entre vos mains vous trouverez la salle que je vous indiquerais.Alan : Je suivrais vos instructions, mais au moindre faux pas, je ne marche plus.
Zeminach : Ne soyez pas si méfiant. Sur ce bonne chance !
Alan : De la chance ? Il faudrait un miracle pour pouvoir surmontée les pièges que me tend Myranos

Après avoir traversé diverses épreuves que la nature et le destin du jeune homme avaient dressé devant lui, il se hissa sur l'un de ces rochers immergant de cette mer de glace et vit le laboratoire en piteux état non loin de sa position. Après avoir affronté une horte de loup à peine avoir effleuré le sol stérile et froid de ce monde virtuellement inquiétant et traversé une rivière gelé, il alla s'aventuré dans ce laboratoire délabrée où attendes bien sagement des loups dressé sur leur pattes arrières, derrière la clôture qui délimite le laboratoire sur cet épais manteau blanc.

Zeminach : Vous vous trouvez à 20 mètres du laboratoire. Le mieux est que vous rampiez jusqu'à la barrière qui entoure de toute part le complexe.

Alan traversa la courte distance qui le sépara de son but en rampant, le ventre au sol, vers cette clôture sûrement électrifié, vu que les loups voraces et assoiffés de sang, restaient statique. L'esprit d'Alan, ensuqué par le froid réfléchissait de la façon d’accéder à l'entrée de ce bâtiment visiblement désinfecté. Mais en si bonne compagnie le moindre problème devient, simple futilité, Alan s’efforcat à trouver le nom, de celui qui peut bien le venir en aide part l’intermédiaire de ce boitié fort gênant, car étant clipsé au ceinturon de la combinaison , aucun mouvements ne pouvais être effectués.

Alan : Bon comment rentré la dedans sans se faire mordre la couenne ? C’est bien gentil, mais une clôture électrifiée m’empêche de faire le moindre pas !
Zeminach : Creusez un tunnel sous la clôture sans éveillé les soupçons des loups, vous êtes à porté de leur crocs acérés !Au moindre faux pas, vous êtes mort, il ne vous laisserons aucune alternative.

Pressé de retrouver le PAD, le jeune homme se glissa sous cette barrière électrique, malgré les forces qui l'abandonna peu à peu. La clôture déclancha une minuscule décharge sur son arrière train, qu'il ne vit pas et en une fraction de seconde l'étudiant rentra par un trou béant sur cette façade sûrement provoqué par une récente attaque de Myranos et ses sbires. Une fois à l'intérieur de l'édifice, il vit le ciel s'obscurcir, voilà que la nuit apparut petit à petit. Alan vit avec émerveillement le ciel étoilé, en oubliant un moment sa mission et s'abandonnant au spectacle de la nature. Les étoiles brillaient de mille feux, la clarté de la lune se reflétait sur les murs en ruine du laboratoire. Alan vit quelques comètes formant des chevelure semblables à celle de Sofia, les étoiles brillait tels que les yeux de Sofia, Alan se tut un moment puis reprit ses esprits. Quand soudain il entendit une douce mélodie venant de l’étage du dessus parvenir à ses oreilles, les paroles étaient incompréhensibles.

Alan : So ...fia !
Zeminach : Ce que vous voyez, sont des embryons, des projets mené par Myranos pour étoffer son armé de mutants un brin plus forts que ceux initial.
Alan : Une greffe de puissance, on peut dire ?
Zeminach : Oui, c’est le même processus, surtout ne touchez à rien, ils vous observent, ne fait en rien qui peut leurs donné envie de s’évadé …
Alan : Pouvez vous me dire d’où vient cette entraînante mélodie ?
Zeminach : Mhhhhh, je capte une présence particulière non loin de vous, restez donc sur vos gardes …
Alan : Sous quels forme se présente t’il ? Encore un de ses loups ?

La salle abritait une trentaine de sorte d'éprouvettes gigantesque où se baignaient des êtres venant de planète lointaine, des hommes et femmes innocentes ayant des écailles, sept membres, des doigts atrocement effilés, des arcades sourcilières proéminentes …. Une matière verdâtre et visqueuse les entourait, certains monstres étaient même décomposés ne laissant que leurs squelettes, leurs yeux et leur crâne dans leur tube qui leur faisait office de tombe pour l'éternité. Dans la même salle se trouvaient des escaliers qui se rejoignaient en un petit étage qui surplombait cette salle sûrement consacrée au fusionnement de ses créatures que Zeminach lui avait parlé. Les montres enfermés dans leurs cage de verre semblaient vivre, ils observaient Alan, il se tenait alors à l'écart des monstres en longeant les murs et en prenant à grande foulé l’escalier.

La musique réapparut, plus forte que précédemment, ponctué de notes, la majorité grave résonna d’en les moindres recoins du laboratoire. A la moindre note, les créatures enfermé dans leur enclot visqueux semblait réagir à la moindre tonalité du chant morbide. A chaque pas que l’étudiant pratiquait vers l’autre salle (qui se rejoignait avec celle précédemment), la musique montait en tonalité, serait-ce par l’approche de « cette présence particulière » ou bien par pure conviction de l’interprète ? Une chose frappa Alan, c’est la justesse et la manière saccadée auquel jouait cet individu au-delà de cette simple cloison.

Les bêtes les plus immondes
Créatures qui m'émerveille ...
Voici le nouveau monde
Des combattants virtuels !

Sur cette maudite Terre
Ces monstres habitants l’abîme
Ces vermines abjectes me font naître
Un stratagème d'une grâce infime

Alan se pencha alors, laissant entrevoir sa tète, apeuré, il regardait l’homme vêtu de noir, de taille immense, glissé ses mains sur les touches. La salle ou siégeait, assit l’homme fut doté des même caractéristique de ce qu’avait aperçu Alan dans la première salle c’est à dire un sol recouvert de carrelage blanc cassé, les murs d’un blanc éclatant, des appareils fortement perfectionné. Cette salle était mieux conservée que le reste du laboratoire. Un chouilla plus petite que l’autre, cette salle était doté d’une demi-douzaine de colonnes.

Ces colonnes d’un verre épais avaient pour but de distribuer de manière équilibré le liquide dit « cytoplasme » de part et d’autre du laboratoire pour ainsi fournir la quantité suffisante à chaque éprouvette. Après s’être élancé à vive allure, Alan se sentit affaiblie, lent, cette sensation fut procurée par cette mélodie devenue à force douce, la rythme diaboliquement vif, était devenu d’une lenteur cadavérique.

Zeminach : C’est de cela que je voulais vous informer, j’espère que vous n’êtes sous aucune emprise …
Alan : A vrai dire, c’est ce qui se passe en ce moment, je ne peut détourner mon regarde de cet être …
Zeminach : Malheur, il vous faut absolument rebroussé chemin, bouché vous les oreilles, la mélodie à un effet dévastateur sur votre esprit !
Alan : Je ….ne ….doit pas écouté …
Zeminach : Faites donc abstraction de cette mélodie dans votre esprit.
Alan : Il ne faut pas !!!!!Bi…en !
Zeminach : …
Alan : Vous êtes toujours là ? Pourquoi ne m’attaque t’il pas ?
Zeminach : Pour la simple et bonne raison, qu’il ne possède aucune arme pour vous flanquer une raclée. Mais j’ai une nouvelle qui risque de vous donner la peur de votre vie.
Alan : Je suis rodé, enfin tout au moins !
Zeminach : Vous n’êtes pas au bout de vos surprises, Myranos à envoyer quelques uns de ses sbires !
Alan : Et combien sont t’il ?
Zeminach : Le nombre n’à aucune importance, le mieux est que vous vous dépêchiez à trouver ce PAD et que vous sortiez d’ici le plus rapidement possible !

Direct la suite et fin du chapitre avec le laboratoire ...

Alan se boucha les oreilles, pour ainsi être hors d’atteinte des ondes magnétiques et hypnotiques que propageait cet homme. Tels un aimant Alan écoutant la mélodie ne pouvait reculé, ni tournez il ne pouvait que avancé bêtement dans le gueule du loup !

Alan s’éloigna donc paisiblement de la musique infernale, il traversa de nombreuses petites pièces en guises de bureaux anciennement dédiés à Myranos et à quelques de ses collaborateurs. Alan ne vit aucune trace du PAD, et d’âmes qui vive.

Zeminach : L’avez-vous trouvez ? Il vous faut vous dépêchez, les êtres que Myranos à envoyé sont aux portes du labo il ont suivit vos pas jusqu’ici. Ils savent où vous êtes !
Alan : Je fait ce que je peut figurez-vous ! C’est la nuit, il fait donc ultra sombre là-dedans !
Zeminach : Allez donc au première étage, et fouillé la moindre petite salle … enfin ce qu’il en reste.
Alan : Vous êtes malade, je ne fais aucun pas de plus, je suis pris en tenaille, entre Myranos, l’homme au piano et un mur de glace.
Zeminach : Détruisez-le et vous passerez aisément ce monde sans encombres.
Alan : Fou, vous êtes fou ! Des centaines de stalactites me tomberont dessus et m’empaleront une par une !
Zeminach : Allez, voulez vous combattre Myranos et retrouvez ton amie ?
Alan : Co ….comment le savez vous ?
Zeminach : On en parlera plus tard, mais pour l’amour du ciel rapporter ce fichu PAD et qu’on en finisse !

Alan se tut, et demanda à mainte reprise comment allait Sofia et ce qu’elle advenait …Mais rien aucune réponse Zeminach ne fit rien, sûrement pour ne pas déstabilisé Alan dans sa quête. Pris en entaille, Alan se décida de foncer tète baisser droit devant vers ce mur de glace, d’ailleurs la glace ce fissura puis céda sous les coups de poings et pieds permanents que donnait l’étudiant. Les mains détruites par les coups portés par Alan, il monta au premier étage de l’édifice.

Mais arriver en haut, les larmes coulant à flot réduisant sa visibilité, il se trouva nez à nez face à une poutrelle glissante reliant les deux bout de la salle, car au centre se trouvait un trou béant laissant apercevoir les diverses cuves où croupissait les monstres les plus terrifiant. Au bout de la salle Alan aperçut avec effrois le PAD, il fallait traversé cette poutre d’acier glissante à souhait pour ainsi le dérobé et s’enfuir on ne sait trop où.

Zeminach : Les créatures ont ouvert une brèche dans l’enceinte du labo.
Alan : Pourvu que je réussisse sans poser de problèmes.

Au dessus de lui Alan vit les mêmes étoiles resplendissantes de toutes à l’heure, une comète passa au moment même où Alan pensa cela. Un signe, ou pure coïncidence ? L’état physique d’Alan se trouvait au plus bas, la fatigue, le froid, la terreur, mais le stress d’une chute mortel se révélât la cause principale de sa pâleur cadavérique.

Les bras tendu au dessus du vide, il fit cinq pas maximum, puis tomba lourdement, mais par une force inimaginable, jamais rencontré dans les rêves les plus fous Alan fut suspendu, accroché à la poutre, ses mains glissèrent doucement de centimètre en centimètre.

Zeminach : Les troupes ennemies se faufilent à travers les diverses salles du labo, vous êtes en quelque sorte, cernée !

Les jambes se balançaient dans le vide, n’ayant aucun appuie Alan tenta une opération risqué celle de par la seul forces des bras remonté sur cette surface savonneuse par temps couvert, car de grande bourrasques de vent faisait frémir les moindre sens de Alan. Au même moment le groupe envoyé par Myranos pénétra dans la salle aux éprouvettes, Alan les voyait discuté à l’aide d’une langue assez cocasse, mais hélas surtout incompréhensible.

Myranos programmait les moindres détails de ce monde, les expressions de vengeance, de haine, de mépris de chaque personnages ici présent dans cette salle, tel de vulgaires pantins auquel ont tire parfois quelques ficelles. Ces pantins étaient sous forme de monstres les uns plus terrorisant que les autres depuis que Alan côtoie ces mondes parallèles aux multiples péripéties.

Cinq minutes s’écoulèrent, par chance aucune créatures n’est vu les pied du jeune étudiant se balancées devant leurs yeux. Une fois le PAD en main, Alan reçu les quelques informations qui lui restait pour enfin fuir cet endroit maudit : la sortie.

Zeminach : Ils ont vu les décombres de glace éparpillée près de l’escalier qui mène au premier étage !
Alan : Je l’ai, où dois-je allez pour vous satisfaire, et surtout quitté cet endroit merdique !
Zeminach : Ils sont à quelques mètres de vous, trouvez une solution efficaces à vos problèmes, je me charge d’inversé le taux de polarité des cuves pour ainsi ….

SCRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII

Alan : Non, pas maintenant ! Allo ! Alloooooo !répondez je vous en supplie !
Zeminach : La connexion est rétabli, je répète donc, descendez par je ne sais quels moyens à l’étage en dessous, j’inverserait le taux de polarité des cuves pour ainsi libérés les monstres et ainsi provoqué le chaos total entre ces derniers et les soldats que Myranos à déployé.
Alan : Cela me parait bien risqué, mais ce n’est pas une sotte idée !

Tels un éclair, Alan descendit bruyamment du deuxième étage en tombant sur un tas de carton humidifié par la neige, l’étudiant jeta des barres de fer, des claviers, des écrans d’ordinateurs à travers la pièce pour ainsi amené les monstres ici, et réveillé les insolite créatures de leurs liquide visqueux. Un charivari se fit entendre dans les escaliers, Alan pâlit de nouveau en voyant les guerriers qu’il aurait du affronté si le temps ne fut précieux.

Ces démons se trouvaient être le contraire de ceux rencontré auparavant dans le vieux port en compagnie de Sofia, ceux là possédait armes, bouclier, une tète franchement antipathique, des yeux globuleux, une silhouette de taille d’un ours. Une fois hors d’atteinte des lances, haches que lancèrent à répétition les troupes de Myranos, Zeminach ouvrit avec professionnalisme les dizaines de tombes en verre.

Zeminach : Cela devrait les occuper un moment, mais courez le plus vite possible vers le sud-est, vous trouverez alors une petite cabane à l’abri de tout regard, vous y serrez, il me semble en pleine sécurité.
Alan : Comment voulez-vous courir avec ce boitié qui me rentre sans arrêt dans le bassin.
Zeminach : Faites de votre mieux, une fois dans l’endroit dis, attendez que tout ce remue ménage se calme, nous pourrons ainsi vous cherchez.
Alan : Nous ? Veut t’il parlez bel et bien de Sofia ?

17 – Zeminach

Le cabanon se trouvait à des centaines de mètres du laboratoire, en plein centre d’une crevasse sûrement former par les nombreux glissements de terrain provoqué par le fort blizzard et les chutes continuelles de neige. Le cabanon au loin semblait un petit point noir dans ce désert blanc et silencieux qu’est l’Alaska, ce spectacle aurait été de même aux autres régions bordant le cercle polaire arctique.

Une fois Alan en dedans, emmitouflé dans sa combinaison dans un des coins de la cabane il attendit « les secours » qui arriveraient d’un instant à l’autre. L’étudiant distinguait le moindre craquement ou bruits qu’émettait la cabane, elle semblait parfois glissée au grée du vent qui s’accentuait perpétuellement dehors.

La cabane possédait tout les rudiments nécessaires : des trousses de soins, des armes surpuissantes au yeux d’Alan, des fusées de détresse perfectionnées, un petit chaufeau, des barils d’eau et un peu de nourritures. A un certain moment Alan entendit les griffes de ces êtres abjects qu’il avait vus dans le labo gratter de toute leur force à la porte. Pour avoir le cœur net, il pris un flingue sur l’étagère, se pencha à la seule fenêtre du cabanon, il les vit. Ces créatures sanguinolentes se traînaient dans la neige, laissant une bave verdâtre comme celui qui se trouvait dans leurs cuve en verre.

Alan : Pas question de rester ici les bras balans, en attendant ma mort certaine. Enfoiré, levé votre derch d’ici !

Alan poussa de rage la porte qui vola en éclats dans les airs, puis en une fraction de seconde Alan lança une salve de balles à travers les monstres, des tirs provoqua de nombreuses avalanches lointaines, certains montres fuyaient de peur. Une heure plus tard le carnage était terminé. Les corps gisant par terre, la neige tombant abondamment sur ces derniers, Alan n’était pas mécontent, cela était la première fois qu’il se servait d’une arme. Il sentie une monté d’adrénaline frissonné en son corps devenu habitué au plus basse température.

Alan : Bon maintenant, il me faut attendre Zeminach, et mes nouvelles instructions pour se casser de ce trou à rats !
Zeminach : Nous arrivons, nous sommes près de votre position.

Alan scruta ensuite l’horizon, il ne vit rien pas une âme qui vive, ni un signe, ni une autre habitation. Soudain, un hélicoptère surmonta les sommets des montagnes au loin, Alan de peur d’être a nouveau face à l’une de ses créature, coura se réfugié dans la cabane.

Le bruit assourdissant montait d’échelons en échelons, c’était devenu insupportable, soudain quelqu’un toqua à ce qu’il restait de la porte ! Puis une voix accompagnait ce petit tapage, cette voix n’était pas celle de Zeminach, ni de Sofia ou de cet incorrigible Myranos.

Wydow-maker : Vous êtes là !?Vous en courez aucun dangers, suivez nous et installer vous confortablement dans l’hélicoptère. Vous n’avez rien oubliez j’espère car nous remettrons jamais les pied ici !

La personne qui lui ouvrit fut interprétée par Alan comme le grand sauveur, de ce monde où de nombreux souvenir seront là, a erré à tout jamais dans sa mémoire. A sa grande stupéfaction, se ne fut ni un de ces hommes que l’on voit dans ces séries policière portant l’uniforme bleue marine ayant des armes à feu les plus inquiétante, ni un de ces êtres extrêmement peu banal comme il avait l’habitude de voir tout au long de ce périple, mais seulement un petit homme qui répondait au curieux nom de : Wydow-maker.

Alan : Pas le temps de jouer la fine bouche ! Non, je ne crois pas ...
Zeminach : Wydow-maker, grouillez-vous ! De nouveaux monstres fond sur vous !
Wydow-maker : Vous avez entendu la même chose que moi, veuillez entré dans l’hélicoptère de suit !
Zeminach : Avez-vous le PAD ?
Alan : Merde ou je l’ait ... Il est entre mes mains !
Zeminach : Bien ...

La personne qui lui ouvrit fut interprétée par Alan comme le grand sauveur, de ce monde où de nombreux souvenir seront là, a erré à tout jamais dans sa mémoire. A sa grande stupéfaction, se ne fut ni un de ces hommes que l’on voit dans ces séries policière portant l’uniforme bleue marine ayant des armes à feu les plus inquiétante, ni un de ces êtres extrêmement peu banal comme il avait l’habitude de voir tout au long de ce périple, mais seulement un petit homme qui répondait au curieux nom de : Wydow-maker.

Pris par le bras, Alan fut jeté dans l’engin rapidement sans broncher. Une nouvelle vague de créature génétiquement modifié pointait leurs nez hors du laboratoire vers notre direction. L’hélicoptère n’en était pas vraiment un, c’était tout bonnement l’un de ses vaisseaux qui hante les rêves de gosse, sans plus.

L’engin se composait de trois pièce, la première la pièce où était encaisser des boites de munitions, de vaccins, la seconde à l’arrière une ère de largages au cas de mission périlleuse pour laissez la place aux soldat de se lancé à travers le vide, et enfin a l’avant de l’engin la salle de contrôle avec des fauteuils en cuir, une table, des commandes complexes. Le sol vitré laissant apercevoir la terre en dessous de nous.

Alan fut déstabilisé dans l’engin volant, il ne fit rien, il resta immobile en contemplant le paysage rongé par la désolation. Un frisson le traversa tout au long de sa colonne vertébrale, avait t’il perdu raison, était t’il dans un de ses rêve prémonitoire, ou bien belle est bien la dur « réalité » ? Alan ne porta aucune réponse à ses question, embêté il traversa le couloir centrale de l’engin, pour demandez quelques informations sur l’organisation qui l’avait secourut.

Il tomba, dans la salle des commandes, face à Zeminach, soudain l’expression du visage d’Alan se détendit, il était devenu radieux et se jeta dans les bras de Zeminach. L’homme au caractère froid qu’il pensait rencontrée était Akitay, son plus grand ami d’enfance !

De multiples embrassades se suivirent, des pleurs, des exclamations de joie. Alan fut le plus surpris, comme si Akitay, savais à qui il s’adressait dans le laboratoire en ruines. L’étudiant retenait ses larmes, le serra fort dans ses bras, il lui posa diverses questions, certaines absurde, d’autres entrecoupé d’éclats de rire.

Alan : Je suis si content de te voir ! Je ...comment tu est arriver ici ?
Akitay : Par la même voie que toi (il rit).
Alan : Tu veux dire ... que oh ! Désolé.
Akitay : Tu n’as pas à être désolé, j’ai quitté la grisaille quotidienne, ma putain de mère, je me suis trouvé des compagnons.
Alan : Mais ? Tes équipiers, ton parcours, tes projets, ta survie ?
Akitay : Viens, je vais te raconter ma mésaventure. Wydow-maker, deux café s’il te plait !