L'amour pour l'Eternité 2

Voilà ma fic "l'amour pour l'éternité remasterisé en quelques sortes, j'espère que vous la trouveriez émouvante (pour l'instant vous n'avez encore rien vu, lol) , romantique et bucolique.


C'était lors d'un soir du mois de Septembre, sous une chape de chaleur intense, les étoiles étincelèrent tel un feu d'artifices multicolores haut dans le ciel. Allongé à même l'herbe, le lycéen vaguait à son occupation favorite, celle de rêvé des heures entière face au miracle de la nature, comme il avait habitude de faire tout les soirs en haut de cette falaise qui culmine toute la province de Meligz. Pour sa famille, l'étudiant confiait à la nature ses pensée les plus secrète, et se remémorait sans cesse les choses dont il avait fait cette journée. Cette coutume machinal est devenue une coutume, peu importe l'endroit, rien ne l'arrêtait par n'importe quel temps et circonstance.

Emmitouflé dans ses draps, les yeux rivé vers la ciel en attendant perpétuellement l'aurore percé sous ses nappes de chaleurs qui prenaient à ce moment précis de l'histoire des formes pittoresque. Les joues caresser par une fine brises d'été, l'homme l'écoutait le bruissement des feuilles, de l'herbe haute, des piaillement d'oiseaux au loin et le silence, ce silence qu'offrait la nature loin du tapage incsécent de la ville, de la moindre concentration de vie. L'étudiant se senti minable devant le travail titanesque que lutte la nature face à l'homme et cela depuis des siècle. La nature semblait vivre en dessous de lui, le lycéen cru voir la terre bougé, les êtres dans cette foret dense derrière lui semblait communiquer. Les fleurs avait l'air de poussé a une vitesse faramineuse et se désagrégé en un temps record dans la terre pour ainsi nourrir les racines et refaire cela continuellement.

Mais un être fit apparition à travers les fourrée voisin, un être splendide aux diverses bienfait que a nature lui à donné démunie d'une partie de ses vêtements, cette splendeur avait pour titre : Femme. La femme s'approcha instinctivement vers l'étudiant d'un pas certes furtif, mais tout de même décidée. Après cette élancé à grand pas vers l'homme, elle se baissa et se pencha touchant l'homme de sa poitrine voluptueuse, puis embrassa l'homme tombé pétrifié devant tant de charme et d'élégance. Soudain un bruit indélicat retentit à travers ce cadre paradisiaque et mystique.

* TI TI TI TI TI TI TI TI TI *

Alan : Oh non, ce n'était qu'un rêve ! Dégage réveil de merde !

Le réveil se fracassa contre le mur laissant une petite égratignure sur le sol, les composant de cette machinal ainsi soit elle infernal furent éparpillé dans les moindres recoins de la chambre. Ce réveil avait fait revenir l'être envolé au delà les frontière du sommeil dans la dur réalité, celle qui le ronge petit à petit. Seul dans les circonstances du rêve, Alan se sent comme apaisée loin du tracas quotidien, néanmoins chaque réveil est un combat contre l'amour, car ce dernier lui tourne le dos depuis fort bien longtemps. A peine les deux pied posé sur le sol, Alan se rue sur le sofa là où était disposé comme à son habitude, devant lui, tout les bienfaits que le corps avait besoins pour se requinqué dès le matin. Après avoir siroté son jus d'orange, s'être régalé en se goinfrant de céréale et de madeleines, Alan somnola un court moment en s'affalant sur la couverture du lit.

La chambre avait été depuis peu rénové, mais déjà l'étudiant avait inscrit ses touche d'originalité, en insérant un nombres incalculable de poster représentant ses groupes de punk et de rock favoris. La salle possédait une petite ouverture laissant peu de soleil à travers la pièce, qui donnait sur la rue principale de Meligz. D'un pas nonchalant et encore sous l'effet de cette nuit mouvementé il se releva et parti en direction de la salle d'eau. A peine le seuil de la salle de bain dépasser, le jeune homme avait une dizaine de fois faillit de tribu cher sur le tapis de sol et la corbeille à linge en bambou.

Après une rivé entre potes dans le bar de "Chez Lulu", cela devait forcement arrivé, le moment tant redouté de tout adolescent traînant dans les bars tard le soir parfois jusqu'a les premier rayon du soleil, celui de voir son visage métamorphosé encore imbibé d'alcool et de fumée de narguilé. Les yeux renfoncé, les lèvres mince, les mains rugueuses, les cheveux hirsute, les joues plissé par les plis du draps voilà à quoi le visage d'Alan ressemblait en ce matin de Juin. Lui qui était plutôt un homme élancé aux yeux brun et à la peau mate, un homme doté d'une grande carrure et d'une élégance à toute épreuve vu son goût aiguisé pour les belles choses. Quelques minutes plus tard, une fois habillé, lavé il fit quatre bonds dans les escaliers.

Sofia : Alan, je t'ai dit cent fois de ne ...
Alan : Oui, je sais man', mais je dois y aller, je suis en retard !
Sofia : Tu as bien pris le petit déjeuner que j'ai installé dans ta chambre ?
Alan : Oui, Man' c'était délicieux, maintenant tu m'excuse je dois aller au lycée.

A flans de montagne entre les sommets enneigés et la sérénité de la mer, siégeait sur un promontoire la somptueuse ville de Meligz. La nature régnait en maître en plein centre de la ville à l’aide de grands parcs fleuri doté d’arbres centenaire, où les jeune Melicien venait en nombres construire leurs cabane en tôle, planche de bois et feuillage en tout genre. Le cadre bucolique se reflétait dans l’intérieur des maisons où l’habitat se dirigeait dans la façon de donner le plus possible l’aspect d’un petit nid douillet. Dans la plupart de ces anciennes chaumières au colombage brun orné de glycine arpentant les façades jusqu'à la charpente, la décoration chaleureuse et original perçait en tout points.

Des point d’eau, avait été transformer en admirable fontaine, quelques unes faites intégralement en or massif, d’autre furent orné de diamants et d’émeraudes trouvées dans les montagnes, mais elles ont malheureusement disparut aux court du temps. De grande place ponctue le moindre carrefour, de grand marché sont érigé toute les semaines, ou tout les marchand viennent déposé leurs biens. La cathédrale rénovée surplombait la ville. Dans l’une de ses rue transversale, la quartier universitaire de Meligz, avec tous ces collèges, lycées et puis universités.